20.2.16

La France est catholique, c'est-à-dire pour la laïcité et la liberté



Victime de la maçonnerie très présente dans ma famille (j'ai au moins deux frères maçons), je n'ai pas l'intention de défendre cette organisation mafieuse. La maçonnerie a investi les tribunaux et ceux qui lisent mon blog, savent que la magistrature maçonnique m'a spolié des biens que mes parents, c'est-à-dire la nature, m'avaient laissés. Leurs escroqueries, vols, diffamations ont eu de graves répercussions sur mes enfants. Je pardonne donc très volontiers ce qu'ils m'ont fait aux magistrats corrompus, mais je ne peux pas pardonner ce qu'ils ont fait à mes enfants. Je ne pardonne pas, parce que je n'y ai pas de titre.

Donc je milite pour la suppression de la maçonnerie et la punition de ses chefs, ainsi que pour la punition des magistrats corrompus.

Il est manifeste que Civitas fait l'objet d'une discrimination de la part des services fiscaux en raison des idées qu'elle défend. Elle fera très probablement l'objet d'une discrimination de la part des juges administratifs. Il n'est que de se souvenir que Serge Klarsfeld est conseiller d'État et que Hollande fut conseiller d'État. Avec de pareils juges impartiaux, on peut immédiatement peser la valeur des décisions administratives et judiciaires. 

Le Conseil d'État n'est qu'un organe de l'ordre public de Nürnberg. Ordre public fait de mensonges, de diffamation, de violation des droits de la défense et des droits de l'homme... sous prétexte de droits de l'homme...

Alain Escada en faisant crier à ses amis "ni maçonnique, ni laïque, la France est catholique" joue un jeu dangereux. Car la France, en raison de son catholicisme, est favorable à une saine laïcité. 

D'ailleurs la notion de laïcité est une notion judéo-chrétienne, inconnue de la maçonnerie si on considère cette notion dans son authenticité. (La maçonnerie est une organisation idéologique qui viole constamment la laïcité de l'État à qui, par ruse, elle impose ses prises de position relativistes, voir ici un exemple public).

Les laïcs ont pour mission particulière d'édifier une société conforme aux demandes du Christ. Donc une société d'êtres humains libres et se comportant librement, respectant leur égalité et agissant dans un but de fraternité universelle.

Pour cela les laïcs demandent d'abord la liberté religieuse sur laquelle se fonde le droit à une société catholique.

À une heure où le clergé (depuis saint Jean XXIII et le bienheureux Paul VI, le "grand Paul VI" comme dit François) a livré les catholiques français aux lions et aux dragons dévorants, il est fondamental de comprendre que ce que nous devons revendiquer, c'est la liberté d'être catholiques et français. Cette liberté, nous devons l'opposer éventuellement au clergé.

Nous avons le droit de militer pour une société fière du Christ-Roi. Le Christ-Roi nous ordonne de respecter la raison universelle de l'homme dont découlent les droits de l'homme et ce droit-pivot des droits de l'homme: la liberté religieuse.

Malheureusement englués dans leurs lectures du maçon de Maistre, de Maurras et autres "traditionalistes", finalement comme Vincent Reynouard, ils militent pour une société de contraintes, pour une société maçonnique. Ils vont donc abandonner à l'adversaire la défense de la liberté de l'homme. Ils vont faire du Christ une sorte de tyran qui impose sa loi arbitraire... Le Christ-Roi devient un roi socialiste. Alors que le Christ-Roi est un libérateur qui respecte la vérité de la raison et la vérité de la liberté de l'homme.

Présents dans toutes les nuances des opinions politiques on retrouve les maçons de l'extrême-droite à l'extrême-gauche. À droite en particulier, ils leurrent les braves gens, parfois en faisant semblant de lutter contre la maçonnerie...

Ce phénomène est présent encore en 2016 chez Civitas et au Forum catholique. Ces organismes, comme bien d'autres soi-disant "traditionalistes", servent surtout à recenser et canaliser les braves gens qui aiment le Christ.

C'est pourquoi au nom de la laïcité et de l'impartialité de l'État, je suis peu favorable aux revendications de Civitas. Je suis éloigné des principes de Civitas, société soi-disant anti-maçonnique, mais qui adopte bien des monstrueuses idées de la maçonnerie et, à ma connaissance, semble ne pas adhérer au Compendium de doctrine sociale. Elle ne compte pas ce document fondamental à la rubrique "ouvrages fondamentaux" de son site.

Civitas continue à condamner la Révolution sans nuance. Alors que la Révolution, au milieu d'un torrent d'horreurs et de folies, a mis en lumière quelques principes éternels valables. D'ailleurs la Révolution n'est pas un bloc.

Un État bien constitué n'accorderait aucun avantage particulier aux sociétés qui ne respectent pas le droit à la vérité de la liberté, de l'égalité et de la fraternité. Il serait sans doute possible de discuter avec Civitas, mais en l'état, il serait difficile de lui octroyer quelque avantage fiscal que ce soit. (Et encore moins, cela va sans dire, aux autres associations maçonniques de gauche qui luttent encore plus frontalement contre l'homme). Le bien commun universel est commun universellement à tous les hommes. Il ne fragmente pas l'humanité.

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