Une disposition de ce plan veut en effet imposer à toutes organisations gérées par l’Église de rembourser 100 % des coûts d’assurance-maladie de leurs employés liés à la contraception (stérilisation, pilules contraceptives et abortives). Sans admettre d’exception, malgré la réprobation de l’Église pour l’usage de ces médicaments.
Il est matériellement exact de dire que l'Eglise réprouve les pratiques irrespectueuses de la vie humaine. Mais ce n'est pas la foi de l'Eglise qui réprouve ces pratiques, c'est la droite raison. De plus il est manifestement contraire à la justice élémentaire de stipuler que tout le monde financera des pratiques contraires à la raison, c'est encore le plus grave.
En réalité, obliquement, ne serait-ce que par l'emploi d'un ton badin dans cette affaire dramatique, madame de Gaulmyn milite pour le remboursement par la caisse commune des pratiques contraires à la raison et jusqu'aux homicides pratiqués à l'échelle industrielle.
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