Une mutuelle a été créée pour permettre à ceux qui ne veulent pas participer à l'œuvre de mort que sont les avortements, la contraception, la fécondation "in vitro" et autres pratiques du même genre contraires à la vocation de l'homme créé pour Dieu.
La journal "La Croix" qui s'est déjà "illustré" en accusant gratuitement le cardinal Burke d'homosexualité, vient apporter son mensonge contre cette mutuelle attaquée par la franc-maçonnerie (sous couvert de la "gauche").
Voici comment le torchon "La Croix" présente la question (article en accès payant, je n'ai que le texte gratuit) :
Se revendiquant conforme à la « Doctrine Sociale de l’Église », la complémentaire Fidelis Santé exclut de ses remboursements certains actes médicaux.
Menteurs ! 1) Fidelis sur son site ne se réclame pas de la « doctrine sociale de l'Église ». Il s'agit de raison et non de foi 2) Il ne s'agit pas d'actes "médicaux". Un avortement n'est pas un acte médical. La masturbation et l'utilisation d'êtres humains comme s'ils étaient du matériel de laboratoire ne sont pas des actes médicaux.
Pour pouvoir mieux apprécier la violence que constitue les cotisations obligatoires pour pratiquer des œuvres de mort voici comment le blog perepiscopus relate la polémique née au États unis du fait de la volonté d'Obama d'imposer à ses concitoyens de cotiser pour l'avortement et les autres œuvres de mort.
Dans l’état actuel des choses, on n’imagine rien de semblable en France. Pourtant nos cotisations sociales obligatoires servent à financer l’avortement, plusieurs moyens contraceptifs et contragestifs, la stérilisation contraceptive dans certains cas limités, le dépistage d’anomalies du fœtus aboutissant quasiment toujours à l’avortement, des procédures de procréation artificielle, et nos impôts nationaux et régionaux servent à la promotion de tout cela dans les établissements scolaires et les centres publics d’information de la jeunesse.
En effet, aux États unis d'Amérique, un évêque, l'évêque de Lincoln, Mgr Bruskewicz, combat cette nouvelle réglementation Obama, au nom de la liberté de la conscience humaine. Il le fait dans ces termes (extraits) :
Bien-aimés dans le Christ,
Les évêques catholiques des Etats-Unis, conduits par le cardinal désigné Timothy Dolan, président de la Conférence des évêques catholiques des Etats-Unis, s’unissent pour attirer l’attention de tous les catholiques de notre pays sur une grave offensive contre notre foi, contre nos consciences, et contre notre chère liberté de religion. Je suis heureux d’unir ma voix et mes efforts à ceux de ces Successeurs des Apôtres et de protester de la manière la plus vive contre une obligation (...) décrétée par l’Administration Obama qui impose à tous les catholiques des Etats-Unis de violer leurs consciences et d’apporter leur soutien à l’avortement, à des produits pharmaceutiques abortifs, à la contraception et à la stérilisation.
(...) La secrétaire Sebelius, en un acte de dérision, a déclaré que ceux qui pourraient bénéficier de l’objection de conscience (quasiment personne) ont un an pour se mettre en conformité, mais qu’au cours de cette année ils devront « adresser » les gens à une assurance qui couvre ces actes mauvais. Nous ne pouvons pas et nous ne voulons pas respecter ce décret injuste. Comme les martyrs de jadis, nous devons être prêts à accepter des souffrances qui pourront comprendre de lourdes amendes et l’emprisonnement. Notre liberté religieuse américaine est gravement menacée.
Tous les catholiques sont invités à prier et à faire pénitence pour que cette question trouve une solution. Tous doivent prendre contact avec leurs représentants élus pour protester contre ce scandale et pour insister sur l’adoption d’une loi « Respect de la conscience » qui passe actuellement devant le Congrès."
Cet évêque a parfaitement raison. Je me permets d'ajouter, au nom de mon humanité, que cette objection de conscience n'est pas un monopole catholique, mais que tous les hommes, quelles que soient leurs croyances ou incroyances, ont le droit, en raison, d'exciper de leur liberté d'objection de conscience ( l'objection de conscience est une disposition qui n'existe qu'en raison de la malice des "lois" (citation de Jean-Paul II relative à cette question), normalement, c'est la loi qui doit être abrogée, l'objection de conscience, qui est un droit, n'est qu'un pis-allé).
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