23.8.10

Le conjoint mâle maltraité "abandonne le domicile conjugal"

http://www.la-croix.com/Les-hommes-battus-une-realite-meconnue/article/2436455/4076

La violence faite aux hommes par les femmes reste presque un tabou. Sur cet article de "La Croix" on peut lire un certain nombre d'expériences.

Combien sont-ils réellement à être battus par leur conjointe ? Il n'y a pas, il ne peut y avoir de statistiques. L'homme battu a honte comme un renard qu'une poule aurait pris. Dans la doxa sociologique, l'homme est le méchant tortionnaire et la femme la victime innocente.

Cette doxa entraîne que si l'homme riposte, il sera dans son rôle de méchant, s'il ne riposte pas, on lui contestera sa virilité. Les femmes le savent.

C'est pourquoi, l'homme battu ne se plaint pas aux autorités et, s'il le fait, nos inimitables magistrats français auront tôt fait de lui couper la parole, tant le discours de l'homme battu leur mettra les nerfs à vif. Ils ont leur catégories apprises à l'ENM et il ferait beau voir qu'un non-initié vienne les leur inverser.

En France, la violence physique a causé officiellement la mort de 27 hommes, tués par leur conjointe en 2009.

Or les femmes préfèreront habituellement la violence morale à la violence physique.

Combien de morts des suites des violences morales ? Combien de suicides ? La statistique est impossible, puisque le discours de la conjointe inversera les données. Elle n'aura aucune difficulté à se poser en victime et à être crue sur parole.

C'est encore une raison de la convenance, voire de la nécessité, du jugement dernier, où toute la famille humaine rectifiera ses jugements. Elle les rendra en pleine lumière.

1 commentaire:

philippe a dit…

Cher Denis
Il y a une évidence dans votre commentaire, c'est que la femme libérée n'est en fait qu'un mâle de substitution. Ma réflexion me pousse à croire que la femme est avant tout instinctive et que de ce fait, elle a plus de difficultés que l'homme à parvenir à la raison et à l'esprit cartésien. La détourner de son rôle fondamental et naturel qu'est la maternité, c'est lui imposer une attitude qui la poussera aux excès les plus vils de la nature humaine. Ainsi l'acquisition de la "liberté de son corps" les amène à la destruction de masse sur les êtres les plus fragiles et cela dans des proportions gigantesques. Cette déviance de la nature propre de la femme a pour conséquence la destruction de notre société ni plus ni moins. Je pense que l'instinct féminin a besoin de la conscience masculine et qu'en cela ils se complètent. Les horreurs "talibanesques" ont un sens, qu'on le veuille ou non même si elles s'expriment par leur côté le plus extrême.
La société moderne est asexuée et donc stérile. La lâcheté masculine en est tout autant responsable. La victimisation du mâle est quelque chose qui me sied peu mais quel choix a un homme victime de violence conjugale dans ce monde ou seule la femme peut se prétendre comme tel? Le choix est cornélien pour ne pas dire dramatique je le reconnais mais en général un bon retour à l'envoyeur bien dosé est à mon sens le remède le plus efficace.
Je pense qu'une femme violente est une femme qui a un besoin naturel d'autorité et je crois même qu'il s'agit d'une résurgence problématique de l'enfance caractérisée par un manque de père.
Evidemment, comme la société moderne a tué le Père, ce n'est pas demain que l'on va résoudre le problème. A moins que l'immigration de masse en provenance des sociétés paternalistes du sud de la planète, n'impose à terme un renversement de tendance. C'est à mon avis ce qui est en train de se passer.