On se souviens que j'ai été gravement agressé verbalement par un magistrat lorsque j'ai voulu défendre mes droits dans l'héritage de ma fille Hélène. Joints à d'autres très cuisants souvenir, je confesse n'avoir aucune confiance dans la magistrature française.
Souvenir de lecture: dans Les Misérables, Victor Hugo met en scène Causette qui vent ses dents incisives pour l'extraction et leurs transplantation dans la bouche d'une riche bourgeoise. Il la montre édentée avec une bouche sanguignolente.
Cela devait donc se pratiquer dans l'extrême misère au XIXème siècle.
Voici mon commentaire sur Youtube:
Si vous allez en prison, que les magistrats parjures et malhonnêtes sachent qu'ils chargeront leurs consciences d'un nouveau crime !
Ils agiront ainsi contre le premier des droits de l'homme qui est la liberté d'expression.
Déclaration des droits de l'homme et du citoyen:
Art. 5. La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. (...)
Art. 8. La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, (...)
Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi.
Ce dernier article voit son sens détourné par un tour de passe-passe: le jugement du 1er octobre 1946 est inséré à l'ordre public tout en occultant l'ordre public humain, alors que l'ordre public c'est vérité, justice, droits de l'homme, liberté, égalité, fraternité et pas un jugement contingent et manifestement nul et de nul effet par défaut de forme.
Bref, vous êtes poursuivi par des criminels qui bafouent le bien commun.J'ajoute :
« Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. »
Il n'y a aucun abus dans votre cas. Au contraire vos vidéos sont très instructives. Elle détruisent l'enchantement de la propagande communiste et américaine. Parfois elles constituent une invitation à de profondes réflexions.
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