Monsieur Mérah, juste après la mort de son fils, avait pris une avocate. Il contestait la version officielle qui attribue à son fils, contre toute vraisemblance, les assassinats de mars 2012. Depuis, on entendait plus parler de rien. Il est vraisemblable que l'on ait expliqué à monsieur Mérah qu'insister serait de mauvais goût. Il s'était fait discret. Cela ne suffisait sans doute pas.
Je rappelle que Mohamed Mérah n'a jamais été jugé ni même entendu à propos de ces crimes. Les lui imputer est aller contre la présomption d'innocence.
Je soupçonne les autorités d'avoir expulsé monsieur Mérah parce qu'il n'est pas d'accord avec la version officielle, version officielle pour moi hautement invraisemblable et de toutes les façons irrespectueuse des droits fondamentaux de l'homme.
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