27.1.16
Révisionniste, Vincent Reynouard ?
Monsieur Reynouard est révisionniste, mais pas sur tous les sujets.
Ainsi il nous ressort l'affaire du "déicide" et nous ressort également les accusations contre les chrétiens qui auraient coupé les nez des juifs pour venger le "déicide".
J'ai déjà démontré sur ce blog qu'il n'en n'est rien. Les juifs ne sont pas coupable de déicide. Ce sont les documents traditionnels de l'Église qui le démontrent (voir un de mes posts sur ce sujet).
De plus un crime est un crime. Couper les nez des juifs ou des goys est un crime. La gravité du crime ne varie pas selon l'identité (vraie ou supposée) de la victime. La loi doit être la même pour tous (voir la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789), c'est-à-dire que la loi ne procède pas par catégories déterminées d'individus, mais toujours par catégories abstraites et indéterminées. C'est pourquoi la lutte contre l'"antisémitisme" est injuste.
D'autre part la notion de crime contre l'humanité est destinée à contourner ce fait incontournable qu'il n'y a pas pire dans l'échelle des infractions que l'assassinat.
Mourir est mourir, que l'on soit juif (vrai ou supposé) ou goy (vrai ou supposé). Donc, être tué, c'est être tué. Quels que soient les mobiles, car les mobiles du crime n'entrent pas dans la définition du crime.
On comprend que des magistrats chargés d'appliquer une législation malhonnête, particulièrement dans un domaine très grave qui est celui du droit pénal, soient eux-mêmes des malhonnêtes et que leur malhonnêteté s'étende au-delà du droit pénal. Passé les bornes, il n'y a plus de limite dit-on plaisamment. Quand on a pénétré dans le monde de l'arbitraire et du mensonge, plus rien n'arrête. On devient "libre" à l'égard de la justice et de la vérité.
Tant que ne sera pas révisée la législation folle et malhonnête de 1943-1945, nous nous enfoncerons dans le cauchemar.
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