15.1.16

Le Club de l'horloge devient le Carrefour de l'horloge



Mes commentaires (à lire après avoir écouté monsieur de Lesquen):

Monsieur de Lesquen parle d'élargissement. Mais le seul élargissement semble être dans le nom de l'école de pensée, car rien ne me semble changer à part le nom. En tous cas monsieur de Lesquen n'énonce aucun changement substantiel.

"National-libéralisme", c'est-à-dire le relativisme philosophique et l'"amour de la patrie" (?). La "lutte pour le pouvoir" n'est pas un but politique valable. On lutte pour la justice, pour la vérité (mais un libéral croit que la vérité est inconnaissable), on ne lutte pas "pour le pouvoir".

Notre but ne peut être d'être indépendant de l'"idéologie dominante". Nous ne pouvons nous définir négativement, comme une sorte de négateurs. Lorsque nous faisons de la politique, nous affirmons et, accessoirement, nous dénonçons.

Le rassemblement n'est pas le but. Si la double nationalité est injuste et que les Français y sont hostiles, comme ils sont hostiles à cette contradiction dans les termes qu'est le "mariage homosexuel", tant mieux.

Mais ce qui constitue l'injustice de la double-nationalité ne dépend pas de la majorité. Elle dépend de la raison qui veut l'égalité des êtres humains.

Ce n'est évidemment pas le Club de l'horloge qui est à l'origine de la contestation de la double nationalité, c'est la raison universelle de l'homme.

Enfin, il n'y a que l'Église qui ait une doctrine.

Bref, ce groupement relativiste inquiétant (nécessairement apparenté à la maçonnerie) est un des pires ennemis de la France et de l'humanité et de l'authentique liberté de l'homme.

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