2.9.13

La mondialisation, ce n'est pas la guerre, il faut que ce soit la paix

Monsieur Strauss-Kahn, qui est un conseiller spécial en matière d'économie de divers gouvernements, dont celui de la Russie, va publier un livre. Comme on pouvait s'y attendre, ce livre en gestation fait l'objet d'une intense publicité.

Je ne m'intéresse pas plus que de raison à la pensée de monsieur Strauss-Kahn, relativiste et fanatique franc-maçon. Mais il est intéressant de commenter son titre pour revenir sur les problèmes posés par le fait de la mondialisation.

Constatons d'abord que ce titre : « La mondialisation, c'est la guerre » peut avoir deux sens.

1) La mondialisation conduit à la guerre. (Mais dans ce cas, il aurait plus probablement choisi comme titre "Le mondialisme, c'est la guerre").

2) La mondialisation se vit comme une guerre. C'est la guerre de tout le monde contre tout le monde.

Le soleil, image du Christ, église d'Abriès (Hautes-Alpes)


Dans les deux cas, c'est un titre mensonger.

La mondialisation ne conduit pas à la guerre, elle suppose au contraire une entente, car sans entente, pas de mondialisation. C'est l'évidence même.

Ceux qui croient que les impérialistes et leur doctrinaires, les francs-maçons, sont favorables à la mondialisation seront bien détrompés. Les impérialistes ne craignent rien tant qu'un gouvernement mondial qui ferait régner la justice et poursuivrait le bien commun mondial dont la paix est un des éléments essentiels.

À problèmes mondiaux, solutions mondiales, donc autorité mondiale pour la paix mondiale. (Voir à ce propos la doctrine de Jean XXIII et de ses successeurs).

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