On aurait tort de croire que la campagne médiatique serait purement artificielle, le professeur Introvigne fait le point historique sur ces questions :
http://www.zenit.org/article-24070?l=french"Personnellement je crois aussi qu'une certaine tolérance dans certains séminaires - bien évidemment, pas dans tous - d'une sous-culture homosexuelle, dans les années 70, a contribué assez largement à cette confusion morale et à la contestation théorique et pratique du magistère moral de l'Eglise, que le pape dénonce dans sa lettre sur l'Irlande. Cette confusion doctrinale et pratique a préparé le terrain sur lequel a parfois pu grandir aussi l'ivraie de la tolérance pour les abus. Ce n'est bien sûr pas la seule cause de la crise mais cela fait partie d'un problème plus général. L'Eglise a donc, à juste titre, pris des mesures pour faire face à ce problème. Le fait que l'Eglise considère les actes homosexuels comme objectivement désordonnés - même si elle respecte les personnes homosexuelles en tant que personnes - ne devrait être une nouveauté pour personne. Et si elle les considère ainsi dans la société en général, elle peut encore moins les tolérer dans les noviciats et les séminaires."
J'ajoute que Françoise Dolto née Marette, qui fut reçue pour des conférences à Saint Louis des Français à Rome a milité pour la "dépénalisation" des relations sexuelles avec les enfants "consentants" (mais bien sûr...), même ceux âgés de moins de quinze ans.
Aujourd'hui Benoît XVI entend purifier l'Eglise de ces horreurs, d'où le "tohu-bohu épouvantable" (selon l'expression de de Gaulle) dans lequel nous sommes plongés.
Aujourd'hui Benoît XVI entend purifier l'Eglise de ces horreurs, d'où le "tohu-bohu épouvantable" (selon l'expression de de Gaulle) dans lequel nous sommes plongés.
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