Dans une vidéo de cinq minutes l'école Saint Projet répond aux attaques des journalistes de France 2 :
Ceux-ci se défendent :
"on n'a pas appris la chanson aux enfants qui chantent à la mémoire d'Auschwitz. On n'a pas non plus appris, ou incité, ou poussé le professeur à faire de telles déclarations à des enfants sur De Gaulle "déserteur" et Pétain un "grand homme d'Etat. Nous avons les rushs et nous sommes très sereins là-dessus."
Les propos d'un professeur sont sortis de leur contexte. "Donnez-moi trois lignes de quelqu'un et je me charge de faire pendre" aurait dit Richelieu, ici nous avons trois mots.
Il ne semble pas que "les enfants" sont UN enfant, ils ne chantent pas en choeur sous la direction d'un chef de choeur. Les "rushs" ne prouveront rien, il était du devoir de l'enseignant de faire taire l'enfant et de le redresser car il en avait la responsabilité. Ce ne serait une preuve que s'il montrait l'enfant chantant sous la direction d'un adulte... or ici l'adulte, c'est l'employé de Pujadas.
Sa passivité ou plutôt son incitation à commettre le délit en fait un délinquant et ses commanditaires des complices.
On peut voir la vidéo à cette adresse :
http://www.blinkx.com/watch-video/le-cours-saint-projet-r-pond-l-mission-les-infiltr/I_hf_7ckAP2vHFXLk8T5sg
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