2.12.08

Le sabotage des lignes TGV contestation du crime

La chambre d'accusation ont remis plusieurs personnes en liberté soupçonnées dans l'affaire des sabotages de ligne TGV en septembre et novembre 2008.

Les journalistes les médias en général sont favorables aux suspects. Cela change radicalement des affaires où les suspects sont d'extrême droite où aucune compassion ni présomption d'innocence n'est de mise.

Il y a quelque chose de curieux dans ce concert anti-justice et anti-police que les médias relaient tant et plus de lire cela dans un article de Yahoo, pourtant nettement favorable aux personnes soupçonnées :

"La défense estime que les indices ne suffisent pas, dit que la procédure est politique et conteste la qualification de terrorisme pour les actes en question, quels qu'en soient les auteurs. Les suspects ont refusé de s'expliquer devant la police."


Mais pourquoi, s'ils sont innocents, ont-ils besoin de contester le caractère terroristes des actes qui avaient forcé des vieillards, des malades et des femmes enceintes à passer des heures d'enfer, en vertu d'une idéologie ridicule ? Comment connaissent-ils la nature des actes s'ils ne les connaissent que par ouï-dire ?

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