Lu sur le site de Égalité et réconciliation :
« pourquoi, dans le cas où notre politique extérieure serait responsable des tueries sur le sol français, nos officiels ne sont-ils pas visés au premier chef ? Voilà qui serait du terrorisme. Enfin, pourquoi continuent-ils [nos officiels] à bombarder là-bas, quand des Français le payent de leur vie ici ? (…) »
Car le peuple français n'a jamais décidé d'aller bombarder la Syrie, comme il n'a jamais approuvé les sanctions contre la Russie d'ailleurs...
Je rappelle que pour les individus; présentés comme coupables, tués lors de l'attentat d'hier, ceux-ci, même morts, jouissent de la présomption d'innocence. Car, comme d'habitude les prétendus terroristes (prétendus par les officiels, car je ne nie pas le carnage, je nie l'imputation certaine du carnage aux morts) n'ont pas été jugés puisque la police (?) les auraient "abattus". Ils ne parleront donc pas. Comme des dizaines peut-être des centaines de "terroristes" abattus ou "suicidés".
Tout est bizarre dans ces récits dont au premier chef la mort universelle (ou pratiquement universelle) des "terroristes" avant tout jugement, ou plutôt avant même toute audition par la police ou les magistrats.
Restons-en aux principes et aux droits fondamentaux universels et inamissibles de l'homme. Ces principes éclairent tout et l'avalanche de discours sociologiques plus ou moins haineux sont inopérants devant ces principes à la fois de philosophie sociale et juridiques.
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