« M. Bardou n’est pas en colère mais il est atteint, «victime d’une situation qu’(il) n’a pas créé». Comme si cela ne suffisait pas, Véolia lui réclame 26 000 € de factures d’eau. Une somme colossale qu’il ne peut régler puisqu’il «a versé jusqu’au dernier centime des droits de succession». Il regrette «ne pas avoir la jouissance d’un bien qui lui coûte une fortune» et s’avoue confronté à «une absence totale de solution».
Monsieur Bardou a hérité d'un bien de sa mère dont il est apparemment le seul héritier. L'incurie des magistrats français n'a pas de borne.
Moi même engagé dans plusieurs partage, on saisit ma retraite... parce que j'ai hérité d'une fortune considérable...
Je publierai un jour, si Dieu veut, un arrêt de l'inénarrable cour d'appel de Rennes (présidée par un nommé Beuzit, homme fort brutal)... qui m'a condamné à une amende de 800 € pour avoir demandé... l'application évidente, incontestable du droit. Et alors que j'ai eu la douleur de perdre une fille dans des conditions non-élucidées.
La plupart des immeubles dont j'ai hérité sont squattés avec la complicité de la magistrature qui refusa un administrateur judiciaire...
Jardin du Château de Vizille, Hercule. (Hercule est un personnage mythologique démarqué du juge hébreux Samson) |
La propriété de ma mère est squattée par une société qui ne paie aucun loyer et dont la gérante a entrepris des travaux fous mettant en péril un des immeubles composant la propriété. J'ai publié l'arrêt de l'inénarrable cour d'appel d'Aix-en-Provence du 24 juin 2008 officialisant la persécution d'une femme de 95 ans, dont je suis l'héritier, condamnée à verser environ 500 000 € de réparations sur un bien qu'elle "louait" (en fait elle en avait donné l'usage à mes frères, mais pas à moi). Vous pouvez le lire en annexe à ce post.
C'est comme cela que je ma modeste retraite est saisie pour, entre autres, payer le salaire de la femme de ménage de ma mère (plusieurs centaines de milliers d'euros de revenu par an, mais qui n'a pas laissé un euro sur ses comptes en banques, sous le regard amusé des autorités chargées de la répression) et alors que c'est moi qui fait mon ménage, voire celui des autres...
Un État de droit, la France ? Vous voulez rire !
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