On constate combien l'individu qui est payé par les impôts des Français et qui préside la séance n'a aucun cœur. L'évocation de l'assassinat des prêtres, le fait rire.
Le festival HELLFEST est subventionné grâce aux décisions des socialo-républicains.
On constate aussi l'argumentation brutale et mensongère qui invoque un droit de l'homme (liberté d'expression) contre un autre droit de l'homme (droit à la vie) et droit à la liberté religieuse (madame Besse le fait observer).
« Article 30
Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés. »
Autrement dit, il n'y a pas de droit de l'homme contre les droits de l'homme. Ou encore, l'humanité est un bloc.
Il n'y aura pas de débat, décide le président. C'est une vieille méthode de terrorisme de seconde catégorie (sans effusion de sang).
On mesure ici la colossale hypocrisie de Urvoas lorsqu'il prétend défendre l'état de droit et les droits et libertés de l'homme.
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