Retour sur Germanwings 24 mars 2015

Le 28 juillet 1945, par brouillard épais, un avion B25 heurta l'Empire State Building.

Voici ce qu'il en résulta:

« Le building est percuté au niveau du 79ème étage. D’après les journaux de l’époque, l’explosion due au carburant contenu dans le B-25 détruira l’intérieur des cinq étages en dessous. Mais l’avion lui-même ne sera pas pulvérisé : on en retrouvera de gros morceaux partout autour, au pied des autres gratte-ciels de Manhattan.

L’événement ayant eu lieu un samedi, par chance, seulement 11 personnes décéderont dans l’immeuble, suite à des brûlures et à la suffocation.

Le résultat de l’impact sera un trou dans la construction d’un diamètre de six mètres en moyenne.  »

Réfléchissons aux implications de cet accident du 28 juillet 1945 sur l'affaire de Germanwings du 24 mars 2015.

Le B25 (environ 8 tonnes) était avait une masse bien inférieure, volant à une vitesse elle aussi bien inférieurs à celle de l'Airbus A 320 (environ 60 tonnes) qui se serait, dit-on, écrasé contre la montagne faite de marne  noire friable (mélange de calcaire et d'argile).

Pourtant, l'impact de l'avion de Germanwings sur le flanc de la montagne n'est marqué d'aucun cratère.

En outre non seulement l'A 320 fut pulvérisé, mais encore les corps des passagers furent retrouvés en petits morceaux.

Pré-alpes françaises du sud

Cela cadre bien mieux avec une attaque à la bombe éventuellement portée par un chasseur bombardier. Certains témoins ont entendu un avion de chasse. Certains spécialistes ont parlé d'une nouvelle bombe d'une efficacité terrifiante. Elle aurait réduit l'avion et les passagers en petits morceaux. Songeons enfin au silence sur les opérations de remise en état des lieux de la catastrophe. Aucune photo, aucune vidéo ne montre le point d'impact.

Il reste aussi le discours public de Hollande que j'ai analysé dans un de mes posts... Un discours qui sonnait comme une soumission aux auteurs de l'attentat (éventuel).

Si mes hypothèses, mes soupçons se vérifient, cela signifierait que nos gouvernants, allemands, espagnols et français vivent sous la menace. Ils ne seraient pas libres de leurs politiques.