On célèbre à l'envi des offices inter-religieux, inter-fois pour faire croire à la fraternité universelle.
Or l'humanité est divisée de croyances (il n'y a pas de moyen d'obliger à croire, d'où la liberté religieuse) mais unie par la raison universelle de l'homme.
Ce n'est donc pas la diversité des croyances qu'il faut célébrer, mais l'unité de l'humanité dans la raison universelle de l'homme.
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