Une des suites du "scandale Volkswagen", c'est que l'action Volkswagen, le numéro un mondial de l'automobile, s'est fortement dévalorisée en bourse. Volkswagen peut donc être rachetée moins cher et la moins value doit se chiffrer en millions de milliards de US dollars.
On voit donc que les USA, qui sont grands racheteurs d'entreprises européennes (ils ont racheté ALCATEL) sont intéressés à la condamnation du constructeur automobile.
Une fois de plus les Américains et leurs juges pourris sont juges et parties.
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