12.8.14

La magistrature française contre la liberté d'expression




Il n'y avait ni délit de blasphème ni délit de sacrilège en France. Madame Tasin adhère à la doxa de gauche par exemple sur l'affaire du chevalier de la Barre que j'ai déjà traitée sur ce blog. Cette doxa est mensongère et fait le lit de l'islam. Car la France a toujours vécu, au moins implicitement, sur la vérité de la liberté de religion.

Cependant, madame Tasin souligne à juste titre que la magistrature française pose de très graves problèmes. Tout comme madame Tasin, la magistrature ne saisit ni les fondements ni la portée des droits de l'homme.

Sur le fondement de la liberté de religion et de la liberté de pensée, de la liberté d'expression, toutes les religions peuvent être critiquées. Encore faut-il le faire rationnellement puisque nous sommes des animaux raisonnables.

Dire que l'islam est une "saloperie" n'est pas une insulte gratuite. C'est dire à peu près ce que le très regretté Benoît XVI enseignait dans son discours de Ratisbonne en rappelant les mots de Manuel II Paléologue :

« Montre moi ce que Mahomet a apporté de nouveau et tu ne trouveras que du mauvais et de l'inhumain comme ceci, qu'il a prescrit de répandre par l'épée la foi qu'il prêchait » 

Où est le progrès apporté par l'islam ?

Comme on ne peut que constater que l'islam n'apporte aucun progrès, on peut conclure rationnellement que l'islam ne peut être qu'une saloperie. C'est une opinion protégée par la liberté d'opinion.

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