J'en vois une confirmation dans l'interview de Paul Ariès qui admet que son livre La Face cachée du pape François est le fruit de cette collaboration avec des sociétés semi-secrètes.
On peut lire en effet dans l'interview:
« Vous expliquez que ce livre n’aurait pas existé sans le soutien actif des réseaux sud-américains et notamment argentins. »
Ariès dit un peu plus loin:
« J’ai collaboré depuis trente ans à de nombreuses revues catholiques comme Golias, Relations, revue éditée par les jésuites du Québec, Lumière et vie, revue dominicaine, je suis même édité au Brésil par les éditions Loyola du nom du fondateur de l’ordre des Jésuites. Ce livre n’aurait pas été possible sans l’aide de multiples réseaux qui n’osent pas notamment dans l’Eglise dire tout haut ce qu’ils pensent tout bas. »
Donc clairement, selon Ariès lui-même, ces réseaux à l'œuvre dans l'Église emploient l'hypocrisie pour parvenir à leurs fins secrètes ou semi-secrètes.
Je dis hypocrisie, car l'Église vous pouvez la quitter quand vous voulez. Si elle ne vous plaît pas, rien ne vous oblige à y rester. Donc si vous y restez dans le but de la changer vous êtes un hypocrite qui viole la liberté religieuse, droit-pivot des droits de l'homme.
Nous ne saurons rien naturellement, ces sociétés étant secrètes, des membres participants de ces clubs de haine se groupant en vue d'agresser arbitrairement la civilisation catholique et l'Église.
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