« Pour nous opposer à ces forces [de la marchandisation des corps en particulier des corps des enfants et du marché de la drogue] nous devons jeter un regard sur leurs fondements idéologiques. Dans les années soixante-dix, la pédophilie fut théorisée comme une chose complètement conforme à l’homme et aussi à l’enfant. Cependant, cela faisait partie d’une perversion de fond du concept d’ethos. On affirmait – jusque dans le cadre de la théologie catholique – que n’existerait ni le mal en soi, ni le bien en soi. Existerait seulement un « mieux que » et un « pire que ». Rien ne serait en soi-même bien ou mal. Tout dépendrait des circonstances et de la fin entendue. Selon les buts et les circonstances, tout pourrait être bien ou aussi mal. La morale est substituée par un calcul des conséquences et avec cela cesse d’exister. Les effets de ces théories sont aujourd’hui évidentes. »(Via le Salon beige)
Dommage que le Saint-Père n'ait pas énoncé les noms de ceux qui ont soutenu théoriquement la pédophilie, jusque dans le cadre de la théologie catholique.
Car ce sont eux les théoriciens, plus que les prêtres égarés qui les ont crus et écoutés, qui sont responsables de la situation actuelle. Il est urgent des les dénoncer. Comme je dénonce à ce propos la triste et stupide et catholique Françoise Dolto.
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