2.4.14

Le valable et l'abject


Voici le commentaire que j'ai posté sur youtube:


Les gens ne sont pas d'accord avec vous car:
1) Ils croient ce que tout le monde croit. Ils ont peur. La terreur est faite pour terroriser.
2) Ils n'ont pas envie de terminer comme vous: apparemment dans la grande gène, ayant toutes sortes d'ennuis. On me dira le vote est secret: certes mais les sanctions contre les circonscriptions qui votent mal ne sont pas secrètes
3) Ils votent comme papa et maman leur ont dit de voter (même si leurs parents ne sont plus de ce monde).
4) Il votent aussi parce que tel politicien leur a promis tel avantage ou leur a procuré une bonne place de fonctionnaire et se moquent du reste...
3) ils sentent que la solution est dans un gouvernement mondial et pas dans un repli.
5) enfin et surtout, surtout ils n'ont sans doute pas envie de voter pour quelqu'un qui au nom d'un mystérieux "bien commun" veut les priver de leurs droits, car tout le monde veut voir Dieu et a le droit d'y parvenir.
D'ailleurs, je regrette d'avoir à vous le dire, malgré toute la sympathie que j'éprouve pour vous en raison de la persécution dont vous faites l'objet, de vos grands talents, de votre courage, et des services immenses que vous rendez à la société, je ne voterais certainement pas pour vous si vous vous présentiez aux élections et je vous combattrais si vous étiez au pouvoir.
Catholique, français, anti-national-socialiste, anti-socialiste en général d'ailleurs, pour une révision des institutions (notamment 1945-1946) en faveur des authentiques droits de l'homme. C'est la solitude absolue. Et pourtant je ne critique pas le peuple qui a besoin d'amour, de solidarité et de miséricorde et pas de critiques acerbes.

Monsieur Reynouard tient un discours qui est intéressant en ce qu'il permet d'échapper au mensonge de plomb, à la haine folle, au mépris hypocrite des droits universels de l'homme instillés dans les institutions d'abord internationales, depuis octobre 1943 environ (voir Déclaration de Moscou, à laquelle la France eut l'honneur de ne pas participer). Mais le fond du discours de monsieur Reynouard est très inquiétant. Curieusement, l'institution judiciaire le persécute pour ce que son discours a de bien et ne le critique pas pour ce qu'il a d'abject. Il est difficile d'être plus pervers.

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