28.3.13

Utilisation de la "Shoah" en vue de l'intimidation

Le terme "gazé" est employé couramment par les journalistes de gauche :


http://www.sudeducation.org/Communique-de-presse-SUD-education.html

http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/02/02/interpellation-musclee-a-anduze-le-gendarme-nous-a-gaze-sans-sommation_1474241_3224.html

http://www.leparisien.fr/international/video-deux-policiers-americains-suspendus-pour-avoir-gaze-des-manifestants-20-11-2011-1729949.php

http://www.viva.presse.fr/Une-manifestation-de-soignants_15970.html
http://www.lemonde.fr/europe/article/2012/10/18/greve-generale-en-grece_1777089_3214.html
http://www.estrepublicain.fr/doubs/2013/03/24/manifestation-sous-tension

Ainsi, lorsque les "gazés" sont des relativistes, les journalistes emploient ce terme pour évoquer les SS gazant à Auschwitz. Mais lorsque le même procédé physique, est désigné par le même terme (en réalité neutre selon la sémantique) mais dont les victimes sont des partisans de la loi naturelle, alors le terme devient interdit. Dire que des enfants ont été gazés (pourtant un parfaite évidence sémantique et factuelle), devient un "amalgame scandaleux".

Cela découvre combien l'utilisation de la "Shoah" fragmente l'humanité et nie les droits universels de l'homme en catégorisant ceux qui bénéficient des droits universels (les victimes de la shoah) et ceux qui à qui ils sont niés (ceux que l'oligarchie désigne à la vindicte). Et l'on ne peut que constater qu'une grande partie du haut clergé est malheureusement complice (ou du moins victime) de cette manipulation.

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