Le droit pénal n'est pas une obligation de conscience, en ce sens que les nécessités de la répression ne prévalent pas sur la présomption d'innocence.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sakineh_Mohammadi_Ashtiani
Si les procès en France ne garantissent pratiquement pas l'équité, ni la justice (très souvent l'accusé ne peut même pas s'exprimer), en Iran cela semble encore pire.
La condamnation de madame Mohammadi-Ashtiani pour l'assassinat de son mari et pour adultère n'offrent aucune garantie de sérieux.
De plus la peine de mort doit être évitée. Or la peine de mort ne se justifie ici en aucune manière.
Il n'y a pas de risque couru par la sécurité publique.
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