14.6.16

La discrimination au nom de la non-discrimination ou des lois discriminatoires

Extrait du communiqué l'AGRIF au sujet d'un arrêt rendu le 1er juin par la cour d'appel de Paris:

« [Selon l'AGRIF, extrait d'un communiqué d'un groupe de Act Up]. NOUS NE QUÉMANDONS PAS LES PLEINS DROITS QUI NOUS REVIENNENT. NOUS NE TENDRONS NI LA MAIN NI L’AUTRE JOUE : PRÉPARONS LES PLANCHES ET LES CLOUS ! » Dès qu’elle en avait eu connaissance, l’AGRIF avait déposé plainte pour incitation au meurtre et provocation à la haine et à la discrimination (…).
Les jugements de première instance et d’appel ont donc considéré qu’il n’y avait pas matière à condamnation. Pour la justice française, il est donc licite de provoquer au meurtre de chrétiens, suivant la méthode d’exécution sadique employée par la Rome antique pour éliminer, avec un luxe de lente cruauté, les indésirables. »

Par sa prise à partie de l'évangile tourné en ridicule (alors que "tendre l'autre joue" est une expression hyperbolique à ne pas prendre au pied de la lettre) et par l'incitation à la torture et à l'assassinat en raison des opinions religieuses et morales ce communiqué violait la liberté religieuse, le droit à la vie en raison de croyances religieuses.

Ces prétendues lois anti-discrimination ne sont dirigées que contre certaines opinions. Il est licite d'inciter à l'assassinat de certaines catégories de la population. C'est du moins comme cela que les magistrats du "Mur des cons" comprennent ces lois...

La preuve...

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