12.12.13

Prétendre que l'avortement est un droit est un crime

Le Parlement européen a rejeté le rapport Estrella qui présentait, dit-on, l'avortement comme un "droit" de la femme.

Ce n'est certes pas un droit des femmes puisque l'avortement tue majoritairement des filles (alors qu'elles sont moins nombreuses à la conception). Les femmes ont aussi été des fœtus et elles sont à l'heure où j'écris et où on se prépare à les tuer, des femmes. Il n'existe aucun droit à tuer des femmes au nom du droit des femmes.

En outre, et absolument, un droit impose juridiquement à la société une prestation à satisfaire. Si la société doit satisfaire le "droit" à l'avortement, alors la société doit tuer des innocents si on le lui demande. D'ailleurs si avorter est un droit, alors, avorter est un bien puisque le droit objectif ne peut protéger que des biens.

Or la mise au monde d'enfants viables est le seul moyen que l'on ai trouvé pour perpétuer l'humanité. Les naissances sont donc des biens. Les non-naissances d'enfants conçus sont des maux. Présenter l'avortement comme un bien découvre une haine de l'humanité, une volonté d'extinction de l'humanité.

Présenter l'avortement comme un "droit" est un crime contre l'humanité qui ne devrait pas rester impuni.

Quand mettra-t-on en prison les activistes de ces lobbys qui présentent l'avortement comme un « droit » et attentent ainsi à l'existence de l'humanité entière et à la sainteté du droit objectif et des droits subjectifs ?

Le crime d'entrave aux naissances est un crime contre l'humanité déjà défini comme tel par le Code pénal.

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