1.7.13

La Commission consultative des droits de l'homme contre les droits de l'homme

Un des droits dont les humains sont pourvus par la nature est le droit à la réputation.

Lorsque nos chefs diffament la France, ils violent ce droit.

La maçonne madame Taubira a saisi la "Commission nationale consultative des droits de l'homme" (CCNDH) dont la constitution et le fonctionnement sont contraires à l'égalité des êtres humains et des citoyens.

Cette commission diffame la société française en ces termes :


« La Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) a été saisie, le 8 janvier 2013, par la garde des Sceaux et la ministre aux Droits des femmes, dans le cadre du programme d'actions interministérielles contre les violences et les discriminations commises à raison de l'orientation sexuelle ou de l'identité de genre. La saisine porte sur deux questions : la première concerne la définition et la place de " l'identité de genre " dans le droit français ; la seconde porte sur les conditions de modification de la mention du sexe dans l'état civil.
Consciente de la situation très précaire des personnes transidentitaires en France, victimes de discriminations et d'exclusion sociale, " la CNCDH estime nécessaire une refonte de la législation française concernant l'identité de genre et le processus de changement de sexe à l'état civil ". »

Ce genre de mission fragmente l'humanité. Il n'y a pas de droits particuliers conférés en raison des pratiques sexuelles (de plus contre-nature). Il y a des personnes humaines titulaires de droits fondamentaux que la nature (c'est-à-dire Dieu) leur a attribués en raison de leur dignité, c'est-à-dire de leur vocation transcendante. On ne peut donc raisonner par catégories, on doit raisonner sur les individus, sur les personnes. Tous, ou plutôt chacun doit donc jouir des mêmes droits. Il n'y a évidemment pas de droit à un changement de sexe qui rendrait la société débitrice à l'égard du malade. Parce que ce "droit" serait sans obligation pour celui qui le détiendrait, sans avantage pour ceux qui en seraient débiteurs, ce droit n'existe pas.

Il n'y a pas de droits contre les droits de l'homme.

Mais comme ce droit inexistant ne peut s'exercer que perversement, il doit s'accompagner de diffamation de la société française pour tenter de se justifier. C'est ce que ne manque pas de faire la CNCDH en prétendant que la société française violerait les droits d'une catégorie de pervers.

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