D'ormesson et l'abbé Laguérie prennent prétexte de l'histoire de Recife pour attaquer la loi naturelle et l'Eglise qui ne fait que la dire et n'a aucun pouvoir de la changer, car elle est l'expression de la nature divine, elle-même. Il n'est pas au pouvoir de Dieu de vouloir la changer. Non pas que Dieu ne soit pas "tout puissant", mais il ne peut vouloir le mal.
Permettez-moi de dire que, dissimulé derrière le légitime voile de la vie privée, l'histoire de Recife me laisse perplexe. Le droit de l'homme à la vie privée est parfaitement légitime. Il ne peut servir à raconter des histoires invérifiables. Aucun droit de l'homme ne peut être invoqué pour en violer un autre : ici le droit à la vie privée ne peut servir à violer le droit à la vérité et donc à la vérification des récits.
C'est pourquoi cette histoire ne devrait même pas faire l'objet d'un débat par respect de ces deux droits de l'homme : 1) du droit à la vie privée et 2) du droit à la vérité.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire