14.3.10
Halte aux attaques contre Benoît XVI : liberté religieuse
Une campagne de presse (on ne les compte plus) contre Benoît XVI bât son plein. Il s'agit de l'impliquer dans les affaires de pédophilies.
Pour cela "on" n'est pas très regardant utilisant l'amalgame, la diffamation. On a procédé par cercles concentriques de l'Irlande jusqu'à Rome. On utilise le flou. Ainsi on ne sait si ce qui est condamné sont les actes sexuels ou les actes de "simple" maltraitance (gifles... admises à l'époque). "On" doit utiliser des témoignages d'hommes de mon âge qui se seraient tus pendant plus de quarante ans, sans les mettre en doute etc.
La réalité c'est que l'on discrimine car le problème des maltraitances est universel, alors que l'on n'attaque que le pape et que l'on ne peut rien lui reprocher sérieusement. (Avoir accueilli un prêtre pédophile et l'avoir affecté à un service sans rapport avec les enfants n'est pas une mauvaise action. C'est un acte charitable et que ce prêtre ait récidivé n'est pas de la responsabilité de son évêque). C'est un évidence.
Donc il ne s'agit pas de lutter pour le bien-être des enfants mais d'attaquer gratuitement le pape en raison de sa religion et du poste qu'il occupe de chef visible de l'Eglise.
Il s'agit en conséquence clairement d'une violation de l'égalité fondamentale des êtres humains, d'une violation de la liberté religieuse, droit fondamental de l'homme consacré par l'article 1er de la constitution française et la déclaration universelle des droits de l'homme. Que cette infraction soit commise de mauvaise foi, en recourant à des prétextes et des artifices n'en efface pas le caractère délictueux, au contraire pourrait-on dire.
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2 commentaires:
Merci pour votre commentaire, Denis. Je n'ai pas reçu de réponse à ma demande d'information mais je suppose que ça va venir. Bon week-end !
Pardonnez-moi, Marie, mais je ne me souviens pas que vous m'ayez demandé des informations... A moins que ce soit autre chose ?
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