Monsieur Sautarel a fait l'objet d'attaques ignobles de la part de la magistrature et de la police en raison de ses idées politiques.
Ces attaques sont ignobles parce qu'elles sont fondés sur des mensonges. La "jurisprudence" assimile un lien informatique à une citation.
Assimiler un lien à une publication, c’est un mensonge. Un lien, c'est une référence. Donc, c’est un parjure des magistrats. La magistrature a en garde, selon la Constitution, la liberté individuelle. Le droit pénal est d’application très restrictive. C’est normal car il s'agit d'infliger une peine à un être d'une éminente dignité. Si le magistrat donne au droit une interprétation relâchée il commet déjà un crime. Que doit-on dire s’il ment pour pouvoir étendre la répression ?
Magistrature criminelle ! Nous avons une magistrature criminelle.
Mentir dans ces conditions pour un magistrat devrait le conduire à la destitution et à la prison.
31.7.15
Juges français = ennemis du peuple
Les juges français sont les ennemis du peuple français. Nous sommes jugés par des ennemis déloyaux, parjures, menteurs, voleurs, escrocs.
Certes, quelques magistrats sont honnêtes, mais ils sont alors relégués dans des postes obscurs et ne font pas carrière.
Certes, quelques magistrats sont honnêtes, mais ils sont alors relégués dans des postes obscurs et ne font pas carrière.
Un film qu'Hélène Merlin-Poudré était allée voir
Une musique que ma fille Hélène avait écoutée en allant voir le film. Elle m'avait raconté qu'elle ne se faisait aucune illusion sur ce film manifestement anti-chrétien. Elle me racontait que le film commençait par la mort d'une personne tuée par le corps d'un suicidé tombant des tours de Notre-Dame. Ce personnage sortait de la cathédrale après avoir prié pour la réussite d'une affaire. Elle y voyait une claire allusion contre la liberté.
Mais cette musique nostalgique me fait penser à elle.
Les salauds qui ont fait souffrir ma fille dont beaucoup sont déjà morts, seront punis de leurs méfaits.
Les salauds spoliateurs ne s'en tireront pas comme cela. Dans ce monde de voyous décorés, il n'y a pas de justice. Mais il y aura une justice. C'est une certitude rationnelle. Si ce n'est pas dans ce monde ce sera dans l'autre.
Il paraît que dans ce monde le Bon Dieu brade facilement le prix des injustices, mais que dans l'autre on paie le prix fort.
22.7.15
Sainte Marie de Magdala ex-concubinnaire et non ex-prostituée
Mgr Gaume enseigne une thèse très différente de celle colportée universellement aujourd'hui à propos de sainte Marie-Madeleine.
Voici sa thèse (lue probablement dans Biographies évangéliques) Sainte Marie-Madeleine était juive (à la différence de ses demi-sœur et demi-frère Marthe et Lazare qui n'étaient pas juifs, car issus d'une mère goy). La maman de Marie-Madeleine était probablement morte alors qu'elle était enfant et son père s'était remarié à une goy.
Leur père était (ou avait été) un haut fonctionnaire au service des Romains. Elle avait vécu dans la haute société de Jérusalem cosmopolite de son temps. Elle avait donc rencontré dans les réunions mondaines (on peut l'imaginer) un officier romain dont elle était tombée amoureuse et avec qui elle s'était mise en concubinage. À vrai dire les Romains ne faisaient pas vraiment la différence entre le mariage et le concubinage. Les juifs en revanche donnaient une grande importance au mariage.
Déploration. Sainte Marie-Madeleine embrasse la main transpercée de Jésus mort. Palazzo Madama Torino (Italie, Piémont) |
Les Pharisiens faisaient remarquer qu'elle était non-seulement concubinaire publique, mais qu'en outre, fille d'Abraham selon la chair, elle livrait cette chair sainte à un idolâtre ! Un comble !
La rumeur selon laquelle Marie-Madeleine aurait été une prostituée est invraisemblable ne serait-ce que parce que sainte Marie-Madeleine était fort riche et que les femmes qui se livrent à la prostitution le font pour tenter d'échapper à la misère.
Pour ces raisons, j'aurais tendance à croire Mgr Gaume.
Ceux qui prétendent que sainte Marie-Madeleine était une prostituée, pourraient au moins donner les deux versions plutôt que de répéter une version invraisemblable en occultant la vraisemblable.
Enfin les idées de Jésus et de sainte Marie-Madeleine n'étaient probablement pas très éloignées de celle des Pharisiens. Sans l'indignation exagérée...
En tous cas, Marie-Madeleine pleura son péché jusqu'à la fin de sa vie et Jésus ne dément pas qu'elle fût une pécheresse publique.
19.7.15
Sauver Vincent Lambert de sa mise à mort avec actes de tortures et de barbarie sous le regard indifférent, voire complice de la magistrature
Signalé par Nouvelles de France, ce blog n'y va pas par quatre chemins.
Le post de ce blog pose deux séries de problèmes:
I
Pour sauver Vincent Lambert, ce blog prône des solutions extrêmes pour ne pas dire extrêmistes.
Par exemple l'enlèvement et la séquestration d'un juge de la CEDH.
Première objection:
Les conseilleurs ne sont pas les payeurs.
Deuxième objection:
La légitime défense s'applique-t-elle ? À mon avis non car il faut un lien direct entre l'action nécessaire et l'empêchement d'un acte délictueux. Or l'enlèvement d'un juge avec privation de boissons et de nourriture dudit juge criminel n'empêcherait pas directement la poursuite de l'assassinat de Vincent Lambert.
Que faire alors ?
En premier, il faut prier pour Vincent. Ensuite, il faut aussi prier pour ses assassins directs et indirects. Il faut prier pour eux non parce qu'ils sont méchants, ce qui serait pervers, mais parce qu'ils sont des êtres humains comme nous tous.
En deuxième, il faut agir selon les modes d'action licites. On ne combat pas le mal par le mal, mais par le bien.
II
Deuxième grave sujet soulevé par le blog: la question de la discrimination, de l'assassinat fondé sur un critère de croyance religieuse:
En effet, ce blog prétend que Vincent Lambert serait visé en raison des opinions "catholiques-traditionalistes" de ses parents. Il y aurait donc assassinat avec actes de barbarie en raison des opinions, vraies ou supposées, des victimes.
C'est grave ça selon l'ordre public de Nürnberg !
En fait non car l'ordre public de Nürnberg prévoit uniquement la poursuite de ceux qui discriminent les non-nazis et ceux qui leur sont assimilés (traditionalistes, partisans de régimes autoritaires, catholiques croyant à un ordre immuable de la vérité et des droits de l'homme etc.) Discriminer les "nazis" qui sont présumés coupables, c'est normal. C'est bien. C'est méritoire.
Les "juges", "médecins" et autres assassins peuvent donc dormir leurs deux oreilles. Ils discriminent bien. Ils tuent bien. Ils auront de gros traitements et la Légion d'honneur. Pour le paradis, sans repentir de leur part, cela me semble plus douteux.
Le post de ce blog pose deux séries de problèmes:
I
Pour sauver Vincent Lambert, ce blog prône des solutions extrêmes pour ne pas dire extrêmistes.
Par exemple l'enlèvement et la séquestration d'un juge de la CEDH.
Première objection:
Les conseilleurs ne sont pas les payeurs.
Deuxième objection:
La légitime défense s'applique-t-elle ? À mon avis non car il faut un lien direct entre l'action nécessaire et l'empêchement d'un acte délictueux. Or l'enlèvement d'un juge avec privation de boissons et de nourriture dudit juge criminel n'empêcherait pas directement la poursuite de l'assassinat de Vincent Lambert.
Que faire alors ?
En premier, il faut prier pour Vincent. Ensuite, il faut aussi prier pour ses assassins directs et indirects. Il faut prier pour eux non parce qu'ils sont méchants, ce qui serait pervers, mais parce qu'ils sont des êtres humains comme nous tous.
En deuxième, il faut agir selon les modes d'action licites. On ne combat pas le mal par le mal, mais par le bien.
II
Deuxième grave sujet soulevé par le blog: la question de la discrimination, de l'assassinat fondé sur un critère de croyance religieuse:
En effet, ce blog prétend que Vincent Lambert serait visé en raison des opinions "catholiques-traditionalistes" de ses parents. Il y aurait donc assassinat avec actes de barbarie en raison des opinions, vraies ou supposées, des victimes.
Figurine révolutionnaire (Musée de la Révolution, Vizille, Isère) |
C'est grave ça selon l'ordre public de Nürnberg !
En fait non car l'ordre public de Nürnberg prévoit uniquement la poursuite de ceux qui discriminent les non-nazis et ceux qui leur sont assimilés (traditionalistes, partisans de régimes autoritaires, catholiques croyant à un ordre immuable de la vérité et des droits de l'homme etc.) Discriminer les "nazis" qui sont présumés coupables, c'est normal. C'est bien. C'est méritoire.
Les "juges", "médecins" et autres assassins peuvent donc dormir leurs deux oreilles. Ils discriminent bien. Ils tuent bien. Ils auront de gros traitements et la Légion d'honneur. Pour le paradis, sans repentir de leur part, cela me semble plus douteux.
18.7.15
Conflits d'intérêts et mise à mort de Vincent Lambert
Dans leur communiqué, les avocats de Vincent Lambert parlent de "conflit d'intérêt" au sujet des "médecins" qui veulent régler le sort de monsieur Lambert.
Mais le principal conflit d'intérêt réside en la personne de son épouse. Elle met le pouce en bas. On dit: c'est son droit.
Objections:
1) D'abord on a jamais le droit de vouloir la mort de quelqu'un.
2) Ensuite, il faudrait se demander si la mort de Vincent Lambert ne rapporterait pas à l'épouse. Ne serait-ce que la possibilité de se remarier. Dans ce dernier cas, même si l'on fait abstraction de la première règle (récusée par le législateur et les tenants de la culture de mort), on doit constater que son épouse a perdu tout droit à se prononcer.
On ne peut être juge dans une affaire où une option peut vous enrichir.
Mais le principal conflit d'intérêt réside en la personne de son épouse. Elle met le pouce en bas. On dit: c'est son droit.
Hélène Poudré-Merlin et son fils Ferdinand environ 14 mois avant leurs mystérieuses morts |
Objections:
1) D'abord on a jamais le droit de vouloir la mort de quelqu'un.
2) Ensuite, il faudrait se demander si la mort de Vincent Lambert ne rapporterait pas à l'épouse. Ne serait-ce que la possibilité de se remarier. Dans ce dernier cas, même si l'on fait abstraction de la première règle (récusée par le législateur et les tenants de la culture de mort), on doit constater que son épouse a perdu tout droit à se prononcer.
On ne peut être juge dans une affaire où une option peut vous enrichir.
17.7.15
Affaire Bourbon, Vincent Reynouard condamne la vengeance
Tout à fait d'accord avec vous sur votre opposition à la vengeance. Vous m'avez appris la valeur de la doctrine de la non-violence, monsieur Reynouard, entre autres choses fort importantes. En pratique si l'agresseur de Jérôme Bourbon est connu, ne lui faisons aucun mal ! Bravo pour votre vidéo !
Jésus reprenant une sentence de droit pénal juif nous a enseigné "Qui prend l'épée, périra par l'épée." (Mt 26,52) C'est-à-dire celui qui frappe, use de violence létale sera puni de mort par les autorités chargées de la répression. Donc celui qui use de violence non-létale sera puni lui aussi, mais moins sévèrement.
Ne chargeons pas notre conscience d'une faute, même face à la provocation. Ne chargeons pas notre conscience de la violence. C'est la faute qui fut reprochée à Caïn. Caïn à la suite de son crime se mit à errer de par le monde poursuivi par la crainte d'être tué à son tour. L'épisode est raconté par Moïse (Gn 4,13) puis romancé et mis en scène par Victor Hugo:
La carmagnole (musée de la Révolution, Vizille) Selon le Trésor de la langue française: "faire danser la carmagnole" dans une de ses acceptions c'est guillotiner, tuer quelqu'un |
Alors il [Caïn] dit: « je veux habiter sous la terre
Comme dans son sépulcre un homme solitaire ;
Rien ne me verra plus, je ne verrai plus rien. »
On fit donc une fosse, et Caïn dit « C'est bien ! »
Puis il descendit seul sous cette voûte sombre.
Quand il se fut assis sur sa chaise dans l'ombre
Et qu'on eut sur son front fermé le souterrain,
L'oeil était dans la tombe et regardait Caïn.
http://www.victor-hugo.info/poemes/158.html
Dieu demanda pourtant que Caïn, l'assassin de son frère Abel, ne fût pas mis à mort (Gn 4,15). Pratiquons l'extrême douceur comme nous y invite Jésus. Nous ne subirons pas les tourments de la conscience homicide.
15.7.15
Agression de monsieur Bourbon, quand les lâches se moquent d'un homme courageux et veulent lui enseigner le courage !
1) Cette vidéo [la vidéo montrant l'agression de monsieur Bourbon] en réalité ne montre que ce qu'elle veut montrer. On ne connaît pas le nombre d'agresseurs. On ne sait pas comment Jérôme Bourbon passe de en bas en en haut par rapport à ses agresseurs, ni ce qu'ils lui ont dit, ni même ce qu'ils ont fait. Bref, ce montage n'a pas grande valeur probante pour ce qui est du caractère de monsieur Bourbon.
2) C'est effectivement très comique de lire la prose vertueuse des gens qui s'expriment anonymement en enseignant le courage à ceux qui s'expriment à visage découvert.
3) C'est aussi comique de voir des lâches agresser à plusieurs (ils étaient nécessairement au moins deux, celui qui frappait et celui qui filmait) en cachant leurs identités, leurs mobiles, leurs visages, leurs corpulences, leurs rémunérations, l'organisation dont ils dépendent, de voir l'œuvre des lâches qui frappent un homme handicapé (Jérôme Bourbon est obèse) et désarmé. Et ça veut se faire passer pour des héros face à une mauviette ! Par un effet de troisième degré, c'est comique.
Comique dans un premier temps seulement, car quand on a bien ri des salauds, on a envie de pleurer de voir la nature humaine tombée à ce niveau, de voir la fraternité tant prônée, bafouée à ce point par des lâches, probablement bien payés, qui nieront leur agression si on les interroge, face à un homme qui assume sa dissidence à visage découvert.
10.7.15
De Berlin à Gaza ressemblances et différences.
Curieux comme Gaza de 2014 ressemble à la Libye en 2011 et à Berlin en 1945.
Différences:
À Gaza on fait le décompte des enfants assassinés, ce qui n'a pas été fait pour Berlin. Les journalistes ne présentent pas les Gazaouis comme d'horribles méchants qui n'ont eu que ce qu'ils méritaient.
De nombreuses villes françaises ne furent pas beaucoup mieux traitées que Berlin et là aussi le décompte des enfants assassinés n'a pas été fait.
À Berlin et ailleurs en Europe, personne n'interdit la reconstruction. En revanche à Gaza, même la reconstruction semble interdite ou du moins est-elle rendue artificiellement difficile.
Dans tous les cas, particulièrement durant la seconde guerre mondiale, il fut impossible de dénombrer précisément le nombre de victimes de chaque bombardement.
Les familles décimées par ces bombardements n'ont été ni recensées, ni indemnisées.
9.7.15
Histoire du droit : divergences avec monsieur Reynouard
Selon moi, monsieur Reynouard, du point de vue de l'histoire du droit fait une erreur sur la provocation aux délits et aux crimes et de leurs répressions dans la loi du 28 juillet 1881.
L'article 23 de la loi du 29 juillet 1881 dans sa version originaire punissait toute provocation au crime ou délit, à condition, pour les délits, qu'ils aient été suivis de la commission du délit, pour les crimes qu'ils aient été suivis de la commission ou, selon les cas, de la tentative de perpétration du crime.
Il suffisait de publier "cassez la gueule aux paysans", "cassez les vitres des catholiques" ou "escroquez les juifs" ou "escroquez les curés" pour risquer la condamnation, si ces provocations étaient suivies d'effets. Car l'infraction n'était constituée que si elle avait été suivie d'un délit effectif dans le cas de provocation au délit.
En revanche une simple tentative (et a fortiori de la perpétration) dans le cas de certaines catégories de crimes était suivante (alors que pour les délits la commission était toujours nécessaire).
Enfin pour une autre catégorie de crimes la simple provocation, même non suivie d'effet était incriminée. Il n'était donc pas nécessaire d'inciter à tuer tel rabbin ou tel prêtre. Il suffisait qu'il y ait eu provocation, même générale. Par exemple, la provocation à l'assassinat était toujours répréhensible même si elle n'était suivie d'aucun effet.
La liste de ces crimes dont la provocation était incriminée, même si la provocation n'était suivie d'aucun effet, était donnée à l'article 24 (meurtre, pillage, incendie, sûreté de l'État et toutes les infractions prévues par les articles 75 à 101 du code pénal). Donc il était interdit de publier "mort aux juifs" ou "mort au curés". Même si cela avait pu se pratiquer impunément en violant la loi par défaut de poursuites. Ce qui est une question événementielle et non d'histoire des institutions.
J'ai trouvé une jurisprudence qui infirme l'opinion de monsieur Reynouard.
Dans l'édition 1986-1987 du Code pénal Dalloz que je possède, je lis qu'il y a provocation au crime dans le fait d'exciter publiquement les Français, dans le cas où ils seraient mobilisés "à se servir de leurs armes contre leurs chefs". Bref, en cas de guerre, les soldats du contingents étaient provoqués à utiliser leurs armes contre leurs officiers. Bien que le conseil ainsi donné ait seulement été ait seulement éventuel et subordonné à une circonstance hypothétique l'infraction fut jugée constituée. (Cass. Crim. 25 mars 1921 Dalloz périodique 1921 1, 182). Lu sous l'article 24 de la loi de 1881.
La provocation au meurtre pouvait donc concerner certaines catégories humaines sans nécessairement désigner un individu déterminé.
7.7.15
La dictature arbitraire et invisible en France en 2015
Notre bon pape François, un malin, notre bon pape François vient de faire une déclaration qui secoue, dérange et jette par terre:
La dictature ? C'est une institution ayant existé notamment dans les institutions de la République romaine antique. Quand cela allait très mal, le Sénat approuvait (ou non) la nomination d'un dictateur exerçant ses fonctions pour six mois. L'article 16 de la constitution française de 1958 institue une sorte de dictature. Il prévoit, certes, des situations de menaces sur les institutions, mais en définitive personne d'autre que le dictateur (en la personne du Président de la République) n'est juge de l'existence de ces menaces. Ce qui constitue une régression pour les libertés politiques par rapport à l'institution antique.
Il peut donc y avoir dictature dans une démocratie (aujourd'hui et depuis très longtemps la France républicaine et démocrate est une dictature arbitraire et occulte fondée sur plusieurs supercheries et des menaces américaines. Dans cette dictature les droits du peuple sont violés habituellement par la magistrature et les politiciens aux ordres de l'Empire).
La dictature n'est pas nécessairement viagère. Des fonctions démocratiques peuvent être viagères. Un bon gouvernement n'est pas nécessairement temporaire (même s'il est vrai qu'un certain roulement est nécessaire dans les fonctions politiques notamment, mais c'est une autre question). Une dictature n'est nécessairement opposée, ni aux droits de l'homme, ni aux libertés. Depuis l'Antiquité, la dictature est (aussi) une institution républicaine et démocratique. Etc.
Plutôt que la dictature, c'est donc l'arbitraire qui est absolument condamnable.
« Tutti i servizi nella Chiesa è conveniente che abbiano una scadenza, non ci sono leader a vita nella Chiesa. Questo avviene in alcuni Paesi dove esiste la dittatura. »
« Tous les services dans l'Église, il convient qu'ils aient un terme dans le temps, il n'y a pas des leaders à vie dans l'Eglise. Cela advient dans quelques pays où il existe la dictature. » (traduction personnelle non autorisée)
Assiette décorative, musée de la Révolution Vizille |
La dictature ? C'est une institution ayant existé notamment dans les institutions de la République romaine antique. Quand cela allait très mal, le Sénat approuvait (ou non) la nomination d'un dictateur exerçant ses fonctions pour six mois. L'article 16 de la constitution française de 1958 institue une sorte de dictature. Il prévoit, certes, des situations de menaces sur les institutions, mais en définitive personne d'autre que le dictateur (en la personne du Président de la République) n'est juge de l'existence de ces menaces. Ce qui constitue une régression pour les libertés politiques par rapport à l'institution antique.
Il peut donc y avoir dictature dans une démocratie (aujourd'hui et depuis très longtemps la France républicaine et démocrate est une dictature arbitraire et occulte fondée sur plusieurs supercheries et des menaces américaines. Dans cette dictature les droits du peuple sont violés habituellement par la magistrature et les politiciens aux ordres de l'Empire).
Entrée du musée de la Révolution, Vizille Isère |
La dictature n'est pas nécessairement viagère. Des fonctions démocratiques peuvent être viagères. Un bon gouvernement n'est pas nécessairement temporaire (même s'il est vrai qu'un certain roulement est nécessaire dans les fonctions politiques notamment, mais c'est une autre question). Une dictature n'est nécessairement opposée, ni aux droits de l'homme, ni aux libertés. Depuis l'Antiquité, la dictature est (aussi) une institution républicaine et démocratique. Etc.
Plutôt que la dictature, c'est donc l'arbitraire qui est absolument condamnable.
2.7.15
Quand le peuple a-t-il donné mandat à Valls d'intervenir dans les affaires de l'islam en France ?
— Clément Martin ن (@_ClMartin) 26 Juin 2015
Selon la Constitution La République a pour « principe » le : « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. »
Or jamais le peuple français n'a donné mission au gouvernement d'aider l'islam à grandir et à se solidifier.
Nous sommes donc dans une apparence de démocratie et dans une vraie dictature aggravée par l'hypocrisie.
Le laïcisme n'est que du théâtre
— Clément Martin ن (@_ClMartin) 26 Juin 2015
Le laïcisme consiste à interdire l'expression d'une foi dans l'espace public notamment l'espace politique. L'interdiction se veut morale. Cette interdiction résulte de ce raisonnement: les autorités par l'expression d'une foi pourraient choquer ceux qui ne confessent pas la même foi et être cause d'injustices en favorisant ceux qui confessent une certaine foi (en pratique le catholicisme). D'autre part, l'humanité est unie par et sur la raison, mais divisée de croyances (ce qui est vrai, mais ne justifie pas l'interdiction de l'expression d'une foi conforme à l'ordre public: vive la liberté !).
En revanche il est vrai que l'État étant laïc et se devant à une parfaite impartialité de principe (qui n'interdit pas de juger, évidemment, mais au contraire implique un jugement) n'a aucun titre à enseigner une foi ni à enfreindre l'ordre public en faveur d'une foi. Le prosélytisme lui est spécialement interdit. C'est la « saine laïcité », à ne pas confondre avec le laïcisme.
Donc, le laïcisme (incarné juridiquement notamment dans la "loi" du 9 décembre 1905 et dans l'institution de l'école d'État qui viole la liberté sous couvert de la protéger) est un sophisme qui limite arbitrairement la liberté humaine, un mensonge au service de l'islam.
En effet, la foi, comme toute opinion, peut librement être confessée y compris dans l'espace public. Cette expression publique de la foi peut être individuelle ou collective. Elle peut se pratiquer par le geste, la parole ou l'édification d'œuvres décoratives. Cette expression est insérée dans un ordre public (vérité, justice, droits de l'homme) universel et éventuellement un ordre public particulier. Cet ordre public (vérité, justice, droits de l'homme et en France liberté, égalité, fraternité) protège et limite l'expression de toute foi. Il la protège donc et, dans la mesure, de l'ordre public ne l'interdit en aucun cas.
L'appel au prosélytisme d'État en faveur de l'islam par le Premier ministre n'a pourtant été l'occasion d'aucune levée de bouclier de la part des laïcistes (sauf ceux du groupe marginal Riposte laïque).
C'est qu'en réalité le laïcisme n'était qu'un prétexte, un raisonnement spécieux pour lutter contre le catholicisme de l'Ancienne France et instaurer l'islam d'État. J'ai déjà posté sur cet islam d'État que dénonçait le cardinal Lustiger. Il n'est pas d'hier cet islam d'État ! Il existe au moins depuis 1865. 1865, c'est l'année où Napoléon III, ce vieux franc-mac, prit un « sénatus-consulte » (une "loi") instaurant une possibilité de choix en "faveur" de la chariah par les populations d'Algérie. Cette possibilité bafouait l'ordre public français du code civil. Il y eut aussi l'aide d'État au "pélérinage" de La Mecque, l'édification de la mosquée de Paris aux frais du contribuable en 1920 environ (en violation de la loi du 9 décembre 1905, votée 15 ans plus tôt) etc.
Ces dispositions de lois furent précédées par les écrits pro-islamiques de Jean-Jacques Rousseau, Voltaire, Nietzsche etc. Ces textes ont créé une ambiance favorable au laïcisme, hypocrite préparation à la chariah.
Napoléon premier, autre vieux franc-mac, a utilisé les mamelouks contre les Espagnols (voir la rubrique "en France" de l'article wikipedia sur les mamelouks).
Tous ces faits publics sont soigneusement cachés au peuple, y compris par l'extrême-droite objectivement complice (comme Hitler fut objectivement complice de l'Empire américain). Votre blog les a, seul, révélés ou plutôt relevés et exposés systématiquement. (Dans le moteur de recherche il faut taper: sénatus-consulte, 1865, Napoléon III, Jean-Jacques Rousseau, Voltaire, Nietzsche, mosquée de Paris, maréchal Liautey, pour le pélerinage à La Mecque: voir le lien ci-dessus, pour Napoléon 1er voir aussi le lien ci-dessus).
Nous sommes maintenant passés au prosélytisme islamique d'État ouvert et assumé, et aux frais du contribuable. Cette propagande constitue un vol. Ces délits en revanche ne sont pas nouveaux.
Our sins have long shadows(1). Nos péchés ont de longues ombres disent à peu près nos amis Anglo-Saxons. Elles s'étendent jusqu'aux générations qui nous succèdent.
(1) En réalité : Old sins have long shadows. Ou encore Old sins, long shadows.
(Mon titre est un larcin perpétré contre de monsieur Jospin: il avoua que l'antifascisme n'était « que du théâtre », car il n'existait aucun parti fasciste en France. Mais les gaullo-communistes invoquaient le péril fasciste pour faire peur au peuple et l'inciter à la violence)
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