(Via François de Souche)
Ce que ne mentionnent ni Mitterrand, ni M. El Kabbach, c'est la véritable origine de la situation actuelle.
1) MM. El Kabbach et Zemmour sont juges et parties puisque le maréchal à moustache avait déchu les juifs d'Algérie de la nationalité française en raison des hoax des antisémites des XIXe et XXe siècle français. Cette mesure était une grave injustice commise à l'égard de ces populations en plus d'être une incroyable faute politique. De plus, elle démontrait aux populations musulmanes que la France n'était pas sincère: ils pouvaient regarder les juifs, avec un air goguenard. Mais cette faute lourde commise à l'encontre des juifs rend les juifs d'Algérie partie civile et non juges dans cette affaire lamentable. Dans cette mesure les déclarations des droits de l'homme 1789 et 1948, ainsi que la devise française Liberté, égalité, fraternité que le maréchal à moustache avait répudiées sont une garantie que de pareilles fautes ne renouvèleront plus, du moins si on les respecte. Elles sont de plus justes et vraies.
2) Évidemment Mitterrand, soit par manque de culture, soit parce qu'il n'osait pas, ne dénonce pas la véritable source de la situation actuelle.
La véritable source des problèmes se trouve dans les différentes déclarations et les accords conclus à Londre, Moscou ou sur mer (Déclaration de l'Atlantique) et surtout l'accord de Londres du 8 août 1945. Ces accords, sous couvert de rétablissement des droits de l'homme sont en réalité un ordre nouveau contraire au droit des gens et aux droits de l'homme, et qui sous couvert de civilisation sont en réalité des barbaries: crimes imprescriptibles, fautes établies sans avoir à être prouvées, responsabilité pénale établies à l'encontre des personnes par la condamnation de "personnes morales" etc. C'est sur cette barbarie, qui telle un cancer ne cesse de s'étendre depuis 1945, que se fonde pratiquement toute la doxa tant journalistique que juridique actuelle. Voilà ce que l'on peut dire mais que je crois être le seul à dire.
La solution est donc, conformément à ce que prône l'Église, un ordre juridique ferme et valable pour tous respectueux de la vérité et de la justice, donc un ordre nouveau (car en réalité il n'a jamais existé véritablement cet ordre juridique ferme), valable pour tous sans distinction de race ni de religion. Un ordre laïc qui demandera également et éventuellement des comptes aux ministres du culte éventuellement aux ministres catholiques dans la mesure où ils collaboreraient à la barbarie ou se livreraient à des activités illicites (pédophilie par exemple).
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