Grossière faute de français à la tribune de l'Organisation des Nations unis par François Hollande

Monsieur François Hollande a prononcé un discours le 25 septembre 2012 avec 2 heures 3 minutes de retard sur l'horaire prévu ! Monsieur Hollande fait attendre le monde. C'est une première honte pour la France.

Après cette grave faute contre la courtoisie et, plus grave, contre la vie des gens (quand vous êtes en retard, vous prenez la vie des gens, lorsque vous faites attendre une personne, ce n'est pas bien, lorsque vous faites attendre des milliards d'individus…), il a fait une faute de français devant le monde entier.

Il a dit (selon le site de l'Elysée) :

« Ce gouvernement devra lui-même donner des garanties pour que chaque communauté en Syrie soit respectée et puisse vivre en sécurité dans leur pays. »

Le "chaque" détermine un substantif du singulier. La phrase correcte aurait dû être :

« Ce gouvernement devra lui-même donner des garanties pour que chaque communauté en Syrie soit respectée et puisse vivre en sécurité dans son pays. »

Monsieur Hollande alors qu'il se pose en défenseur de la francophonie commet une faute de français grossière dans un discours à l'humanité ! 

Monsieur Hollande et ses collaborateurs sont issus des "grandes écoles" de la République Institut d'études politiques (IEP), Ecole nationale d'administration (ENA), Ecole nationale de la magistrature (ENM). Ils ont à leur disposition une des secrétaires de premier plan. Le discours est élaboré par une équipe formée de peut-être plus de dix individus bac + 5 voire plus, il se sont donné deux heures aux frais de l'humanité, mais cela n'a pas empêché cette faute ! 

Cela relativise la valeur de ces écoles.  (J'ai été refusé par l'IEP, non pour une question de niveau, mais parce que je n'avais pas le style - le président du jury a pris soin de me préciser que ce n'était pour une question de niveau que j'avais été refusé - et, plus probablement, parce que mes opinions politiques n'étaient pas "conformes" à l'islamo-relativisme obligatoire pour faire partie de la racaille - il peut y avoir des exceptions - qui nous gouverne). 

En conséquence cela pose la question de savoir ce que ces écoles apportent à la France. A part la sélection des hauts fonctionnaires par leurs opinions politiques contingentes, c'est-à-dire par la discrimination illicite, elle ne me semblent apporter qu'affaissement culturel et moral.