5.11.12

Détermination à l'homosexualité ?

Lu sur le Salon beige un extrait d'une interview publié dans le quotidien "Présent", d'un ancien militant homosexuel converti à la raison :

« Un adolescent, violé par un cousin durant la puberté, se croyait déterminé par ce qu’il avait subi à mutiler son identité d’homme en devenant homosexuel. Un père souvent absent, la plupart avaient un parcours personnel et familial chaotique et des blessures à fleur de peau. Il y a beaucoup de résignation fataliste chez les militants homosexuels. Nous sommes comme cela et nous n’y pouvons rien, disent-ils, tout en prétendant servir de modèle à des jeunes pour se construire psychiquement et affectivement. Or, l’être humain n’est pas déterminé, comme l’animal, il peut toujours surmonter ses peurs et dépasser ses blessures. L’affirmation homosexuelle met clairement en cause cette éminente dignité de l’être humain que défend l’anthropologie chrétienne. »

Un adolescent violé par un cousin, mais qui ne s'est pas confié à son père. Sinon, il se serait senti vengé.


Il y aurait une étude de psycho-sociologie à entreprendre sur le syndrome d'aliénation parentale (SAP) et l'homosexualité. Ne parlons pas du père pervers, mais  le simple "père absent" (ici par hypothèse - SAP - involontairement), connote souvent la biographie des homosexuel(le)s. Dans cette perspective, le parent criminel qui aliène l'autre parent prend de très lourdes responsabilités sinon juridiques du moins morales et les juges qui confirment le syndrome d'aliénation parentale également.

L'autre intérêt de ce texte est de souligner qu'il n'y a pas de déterminisme. La liberté n'est pas un vain mot.

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