16.1.12

Léon XIII a traité du "mariage" homosexuel

Lu dans la lettre "Arcanum divinæ" du pape Léon XIII du 10 février 1880 :

Léon XIII y forme le vœux que les peuples n'oublient jamais que

"le mariage a été établi originairement, non par l'autorité des hommes mais par l'autorité et par la volonté de Dieu avec cette loi absolue qu'il ne peut exister qu'entre un seul homme et une seule femme. » 

Ceux qui veulent réduire le mariage à une "convention sociale" donc fondée sur la seule volonté des hommes s'en prennent donc à Dieu, seul auteur du mariage.

Le même pape dit dans la même encyclique :

« D'après une loi divinement établie dès l'origine, les institutions dont Dieu et la nature ont été les auteurs, nous sont d'autant plus utiles et salutaires qu'elles demeurent plus intégralement et plus immuablement dans leur état primitif. Dieu, le créateur de toutes choses, savait bien ce qu'exigeaient l'établissement et la conservation de chacune d'elles. Il les a toutes ordonnées par sa volonté et dans son esprit, de façon que chacune atteignît convenablement sa fin. Mais si la témérité ou la malice des hommes veut changer et troubler l'ordre des choses établi avec la plus admirable providence, les institutions les plus sagement et les plus utilement disposées deviennent nuisibles ou cessent d'être utiles, soit qu'elles aient en se modifiant perdu leur efficacité pour le bien, soit que Dieu lui-même veuille tirer ce châtiment de l'orgueil et de l'audace des hommes. »


Le prétendu « mariage homosexuel » n'est donc que la suite « logique » du mariage civil. Les hommes en portant une main sacrilège sur le mariage par l'institution du mariage civil ont conduit au "mariage homosexuel". Rappelons d'ailleurs que le Pacte civil de solidarité (PACS), cette singerie de mariage, est une institution à laquelle il ne semble pas permis de collaborer, même matériellement (je l'ai lu récemment sur un document du Vatican, je dois retrouver la référence pour mes lecteurs). Il ouvre donc un droit à l'objection de conscience tant qu'il existe. Ce PACS doit donc être aboli le plus rapidement possible ainsi que toutes les politiques anti-familiales menées depuis des décennies en France et en Europe.

« Par conséquent, les politiques qui portent atteinte à la famille menacent la dignité humaine et l’avenir même de l’humanité. »

Il est urgent de revenir aux enseignements de l'Église en supprimant, autant que possible, le mariage civil afin que la colère de Dieu qui se manifeste dans l'introduction du PACS, dans la lutte pour le "mariage homosexuel" et dans la polygamie introduite en France, soit apaisée.

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