1.2.14

Le Ministre de l'Intérieur contre la fraternité universelle

Le 30 janvier, dans les locaux du ministère, le ministre de l'Intérieur, qui est le ministre des cultes, est venu présenter ses vœux aux francs-maçons.

Le ministre des cultes d'une part interdit à la raison universelle de l'homme et à la culture nationale de juger des croyances et des religions, mais va présenter ses vœux à la franc-maçonnerie pour laquelle il n'a qu'éloges. Il solidarise d'autre part l'idéologie maçonnique avec la République française (ce qui est un mensonge, car la devise de la République contredit le relativisme maçonnique).



L'article rappelle, comme incidemment, que le Grand orient de France prêcherait l'incompatibilité de l'appartenance à la franc-maçonnerie en même temps qu'à l'extrême-droite ; alors qu'il est notoire que de nombreux francs-maçons peuplent l'extrême-droite (comme des francs-maçons peuplaient l'entourage de Hitler). Dissimulations permanentes pour ses adeptes (devant les "profanes", ils font souvent semblant de ne pas se connaître, alors qu'ils se connaissent très bien), embrouilles diverses, mensonges à tiroirs sont consubstantiels à la franc-maçonnerie.

De ce seul fait, l'existence de la franc-maçonnerie est contraire à la fraternité universelle et devrait être universellement interdite.

Aucun commentaire: