11.2.14

Le mensonge généralisé conduit au mépris des institutions


Invoquer les droits de l'homme pour les bafouer, ressasser la culpabilisation à propos de faits inventés conduit à ce constat :


« institutions dévalorisées, personnel politique méprisé, sentiment d’échec absolu partagé, pessimismes ravageurs, déclinisme triomphant, amertume noire vis-à-vis de la société, demande pressante d’autorité, nostalgie du chef charismatique. »

(Alain Duhamel, selon le blog Salon beige)

Ne prenons pas cette description au pied de la lettre. Elle comporte elle aussi bien des mensonges et des diffamations anti-françaises dont le prétendu "déclinisme", ainsi que la nostalgie du chef charismatique... alors que la France, inspirée par la doctrine de l'Église, recèle des trésors de jeunesse face à un monde qui radote ("chambres à gaz", "chambres à gaz", "chambres à gaz").

Mais en ce qu'elle recèle de vrai, elle décrit le mépris, le juste mépris, du peuple pour les soi-disant "élites" vectrices des diffamations institutionnalisées.

Ils croyaient que le peuple obéirait à la schlague vaincu par la culpabilité et le respect des "chefs", ils voient avec stupeur que le peuple les voit nus et les méprise.

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