13.6.13

Le problème de l'homicide et des prélèvements d'organes

Il est admis que la mort n'est plus l'arrêt du cœur, mais l'arrêt des fonctions cérébrales. Cette "mort" n'est pas une vraie mort. L'homme vivant et le cadavre sont très différents, l'homme en arrêt cérébral n'est pas mort.

Dès lors si une personne décède du fait du dépeçage de son corps car les médecins l'ont déclaré mort cérébralement, il meurt en réalité du fait du dépeçage (cœur, poumon, foie etc.). Il s'en ensuit que juridiquement aucun homicide ne peut être imputé à l'auteur des coups.

Voir sur la question de la "mort cérébrale" le blog de madame Smits où elle établit que les personnes dépecées (interview du docteur Paul Byne) sont en vie et nécessairement en vie. Cela a des conséquences très importantes sur la qualification pénale de l'homicide (volontaire ou involontaire).

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