24.6.13

Viol continue de la liberté religieuse et de la laïcité de l'État et par l'État français

L'observatoire de l'islamisation nous apprend que la mosquée de Tours sera financée pour 800 000 € par l'État algérien et pour 2 500 000 € par l'État français (Région Poitou-Charente).

Observons d'abord les mensonges historiques de Rue89 qui raconte que dans les années 1930 des baux emphytéotiques ont été souscrits en faveur de la construction d'églises. C'est un mensonge car les Églises ne l'auraient ni demandé, ni accepté. D'ailleurs aucun exemple n'est donné. L'Église prêche et respecte la laïcité de l'État et la liberté religieuse. Les communes entretiennent les églises, temples et synagogues nationalisées en 1905 sans aucune indemnité et contre tout droit. Mais les Églises (pas plus que les associations protestantes ou israélites) ne l'ont pas demandé. De plus le fait de n'avoir pas été indemnisées de la nationalisation arbitraire ne fait pas de cette obligation une injustice. Si les communes ne veulent plus entretenir les églises, les temples et les synagogues nationalisés en 1905,  qu'elles les rendent aux associations cultuelles ! La propriété est perpétuelle, il n'y aurait rien de contraire aux droits de l'homme dans cette mesure de restitution.

Annonciation (Andrea Della Robia ?) Palazzo Madama 


Une loi de 2006 a autorisé les communes à conclure des baux emphytéotiques en faveur des lieux de culte (des mosquées en pratique). Mais cette loi n'a aucune légitimité comme contraire à l'égalité des citoyens quelles que soient leurs croyances, donc aux droits de l'homme.

Ces financements (y compris celui par l'État algérien) sont des vols et contraires au droit de propriété, à l'égalité de tous les citoyens et au droit à la liberté religieuse.

Aucun commentaire: