27.6.13

L'impasse juridique d'Arcangues prouve l'innocence monsieur Bompard

Les maires adjoints sont officiers d'état civil par la loi. Monsieur Bompard ne délègue donc rien. Par le pouvoir qu'il détient de la loi, un maire adjoint (élu au scrutin secret par le conseil municipal) d'Orange a décidé de célébrer un "mariage" homosexuel, alors que le mariage suppose la différence des sexes et la possibilité de rapports sexuels (phallus - vagin). Monsieur Bompard n'a aucun moyen de s'opposer à l'acte contre-nature du maire adjoint.

Le cas d'Arcangues est différent.

Le maire décrit la situation dans une lettre du 25 juin qu'il écrit au ministre de l'Intérieur :

« Mes adjoints sont sur une position similaire à la mienne. Nous sommes donc confrontés à une impasse juridique. »

Le maire précise d'ailleurs que le cas de son conseil municipal est particulier parce qu'aucun adjoint ne veut se déshonorer. Cette phrase est importante pour comprendre la situation.

Il ne sert à rien, ou plus exactement il est injuste et fautif de condamner monsieur Bompard au prétexte de la situation d'Arcangues qui n'ont rien de commun.

Mise à jour du 28 juin 2013 : finalement, il semble qu'un maire-adjoint veuille se déshonorer en "mariant" je ne sais quels individus. L'affaire d'Arcangues est close. Mais elle confirme que monsieur Bompard n'est pour rien dans la "célébration" du "mariage" d'Orange.

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