13.6.13

Derrière le dépeçage des personnes comateuses : l'athéisme

Voici un extrait de l'interview du docteur Byrne (traduction madame Smits) à propos des transplantations d'organes :


« — C’est pour faire des transplantations d’organes qu’ils ont inventé la mort cérébrale. Je parle de cette « racine » après avoir étudié la mort cérébrale pendant de longues années. Il m’a fallu deux ans au moins pour comprendre le langage. J’ai continué de chercher, en laissant de côté la transplantation d’organes, car j’avais confiance en mes confrères médecins, persuadé que les « transplanteurs » étaient des gens honorables. Au fil des ans j’ai commencé à regarder de plus près ce qu’ils faisaient, et il est devenu clair pour moi que la raison pour laquelle on nous parlait de mort cérébrale était en vue de justifier la transplantation d’organes. On avait essayé de faire des transplantations de cœurs prélevés sur des personnes mortes, mais cela ne marchait pas. Il fallait pouvoir disposer d’un cœur battant prélevé sur une personne vivante. La première opération était celle du Dr Christiaan Barnard en Afrique du Sud en 1967. La deuxième transplantation eut lieu peu après à Brooklyn, New York, où l’on a découpé le cœur battant d’un bébé âgé de trois jours pour le transplanter sur un bébé de 18 jours. Ces deux bébés étaient innocents ; je pense que les parents l’étaient probablement aussi, ils ont été conduits là où ils étaient par les médecins. A la fin de cette journée, les médecins avaient tué deux bébés. C’est le début de toute cette histoire. »

À la racine de ces horreurs se situent la fausse anthropologie athée considérant l'homme comme une machine (conséquence du cartésianisme).

Si le cerveaux sécrète la pensée comme le foie sécrète la bile (erreur de raisonnement, car comparaison n'est pas raison), alors si le cerveau est mort, la personne est morte. L'athéisme considère le  cerveau comme un super ordinateur qui produirait la pensée. Ce faisant, il confond expression, voire capacité d'expression de la pensée et pensée. Parfois, en cas de fatigue par exemple, on ne peut plus s'exprimer, la pensée existe, mais elle ne peut plus s'exprimer, elle ne peut plus être communiquée, les mots manquent.

L'athéisme a cependant réussi à imposer ses confusions (ou ses idées, si l'on veut).

Si l'âme est le principe de la vie, le principe de la vie est présent dès lors que le cœur bat, même si l'électroencéphalogramme est plat.


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