Les animaux sont fiers de servir les hommes

Les antispécistes ne connaissent pas bien les animaux dont ils semblent n'avoir qu'une connaissance déductive.

Les vaches, les brebis et les chèvres sont fières de fournir du lait pour nourrir les hommes. Les moutons sont fiers de fournir de la laine. Les chiens sont fiers de leurs maîtres et contents de les servir et de partager souvent leur intimité. Les chevaux sont heureux d'être utiles. Comme ils ne parlent pas on le sait à leur allure, à leur allant, à leur bonheur évident d'être en compagnie de l'homme. Il faut avoir vu un chat montrer fièrement à son maître ses proies mortes comme pour lui dire "Tu as vu, le chasseur que je suis ! Tu peux admirer !" (Même si son maître est furieux qu'il ait tué des petits oiseaux). Souvent, ils sont aussi honteux lorsqu'ils s'en sont pris (lors d'un mouvement de colère) à un homme. Ils se sentent coupables.

Il reste quelque chose de ce qu'auraient dû être les relations entre l'homme et l'animal avant le péché originel. L'animal aime et respecte l'homme qu'il considère comme son maître, son dieu (Jack London en parle dans "Crocs blancs" : pour le chien bien né, l'homme est un dieu).

Les antispécistes ne connaissent pas les animaux. Ils ne voient pas la relation spéciale qu'ils ont avec les humains. Le comportement animal témoigne de ce que l'homme pour l'animal est un être qu'ils sont fiers de servir et pour ceux qui ne le servent pas qu'ils respectent spécialement.