6.6.13

Le pouvoir veut avoir les mains libres dans la répression : exploitation de la mort d'un jeune homme

Alors que l'opposition à la loi Taubira-Hollande ne désarme pas, le pouvoir cherche à discréditer les manifestants.

Hier un jeune homme est mort des suites d'une agression aux abords de la gare Saint Lazare. Le quartier est dangereux. La drogue s'y distribue. Le Figaro titre prudemment "Un militant d'extrême-gauche meurt après une agression". La bagarre semble avoir eu lieu au sortir d'un marché aux vêtements, un événement sans aucun lien avec la politique.

Il n'existe aucune preuve sérieuse que cette mort soit liée aux activités politiques de gauche de la personne décédée.

Cependant cet événement dramatique fait l'objet d'une exploitation politique par ceux qui n'ont pas accepté que la manifestation pour tous ait réuni un million de personnes (bel aveu que le comptage par les fonctionnaires français était un mensonge).

Monsieur Bergé, le célèbre militant anti-mariage, a publié un tweet : "se mobiliser derrière Clément assassiné, faire descendre un million de personnes dans la rue, dire notre indignation et notre colère".

 Ou encore :

 


Cette exploitation occultera les violences policières contre les enfants, les vieillards et les handicapés (déjà occultées dans la plupart des médias).

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