11.1.17

Marie-Laure Merlin, passagère clandestine judiciaire

Mes lecteurs pourront trouver d'anciens posts sur l'affairiste Marie-Laure Merlin. Marie-Laure Merlin la passagère clandestine (celle qui voyage sans payer son billet) du fait des malhonnêtes magistrats français. Vous comprenez maintenant, chers lecteurs, pourquoi maître Scipilliti s'est suicidé, pourquoi maître Delcroix fut, comme moi, furent contraints à la démission et pourquoi ces mêmes magistrats ont fait jeter maître Ripert dans un hôpital psychiatrique ?

Voici l'arrêt de l'ineffable cour d'appel d'Aix-en-Provence du 24 juin 2008.

Voici le bail de 1992 qui permet à cette grosse affairiste, qui se fourre au black des centaines de milliers d'euros dans la poche tous les ans sous le regard attendri des services fiscaux des sieurs Maresq (vieille famille française) et Canton. Ce détournement du chiffre d'affaires se fait au détriment des associés, des héritiers et du fisc (qui en est fort satisfait, du moins ses agents). Cependant que moi je suis contraint à payer pour elle la taxe foncière par les services fiscaux corrompus.

Voici aussi une page très intéressante avec photos du domaine ("loué" 2 300 € par an, 191,66 € par mois, avec la complicité du nommé Chalumeau, président de chambre à la cour d'appel d'Aix-en-Provence) lors d'une petite fête organisée par ses amis maçons de gauche sur le monde ouvrier de Saint-Chamas. La multi-multi-millionnaire (probablement des centaines et des centaines de millions d'euros), grasse avare rapace, se penche sur le monde ouvrier. Quelle rigolade ! Quelle dérision ! Chalumeau devait se cacher quelque part. On ne le voit pas sur les photos...

J'aime ce poème d'André Chénier du poète contre-révolutionnaire et royaliste. Né en 1762, guillotiné en 1794, ce franco-grec (sa mère était grecque) écrivait quelques jours avant de mourir sous les coups des révolutionnaires:

« Justice, Vérité, si ma main, si ma bouche,
Si mes pensers les plus secrets
Ne froncèrent jamais votre sourcil farouche,
Sauvez-moi. Conservez un bras
Qui lance votre foudre, un amant qui vous venge.
Mourir sans vider mon carquois !
Sans percer, sans fouler, sans pétrir dans leur fange
Ces bourreaux barbouilleurs de lois !
Ces vers cadavéreux de la France asservie, »
(…)
Pour descendre jusqu'aux enfers
Nouer le triple fouet, le fouet de la vengeance
Déjà levé sur ces pervers ?
Pour cracher sur leurs noms,
pour chanter leur supplice ?
Allons, étouffe tes clameurs ;
Souffre, à coeur gros de haine, affamé de justice.
Toi, Vertu, pleure si je meurs. »

Pétrir dans leur fange, dans laquelle ils se complaisent, ces monstres barbouilleurs d'arrêts au service d'affairiste et de leurs comptes en banques et de leurs trafics de produits agricoles divers ?

Quel bonheur de pouvoir pétrir dans leurs fanges, grâce à Internet et à Google, ces monstres barbouilleurs d'arrêts ! Quel bonheur de servir la vérité et la justice !

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