13.1.17

L'assassinat dans la logique du socialisme

Mon précédent post est titré "socialistes assassins !"

L'assassinat est dans la logique du socialisme. Si l'homme n'est qu'un rouage de la machine d'État qui le dépasse, alors on peut l'assassiner s'il empêche la machine de fonctionner.

Si l'homme en revanche est d'une éminente dignité: son destin est en Dieu. N'importe qui qu'il soit, il est sacré pour les autres hommes. Nul ne peut le sanctionner sans avoir observé les formes  notamment sans l'avoir entendu. Au moins entendu.

Nos magistrats socialistes ou gaullistes (ou démocrates-chrétiens) ne voient aucun inconvénient à sanctionner un homme sans l'avoir entendu en sa défense, ou, bien pire le tuer.

J'ai déjà écrit sur ce thème. Par exemple ici.

Plus profondément, il est logique que dans un système de culpabilité collective irréfragable (accord du 8 mais 45 prévoyant la condamnation pénale des personnes morales, avec impossibilité sérieuse  pour les membres déclarés "coupables" de par ce texte de se défendre, voire simplement d'exprimer leurs points de vue), que dans ce système de non-droit qu'est le système de 1941-1945, on en vienne à assassiner par l'intermédiaire de spadassins payés par le trésor public...

À remarquer que les socialistes ne sont pas les seuls assassins d'État. Les catholiques gaullistes, les démocrates-chrétiens ne sont pas en reste...

Il est donc bien plus probable d'aller chercher l'origine de ces pratiques dans l'idéologie "anti-nazi" et "anti-fasciste", ces abominations.

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