Lu sur le Salon beige voici ce que dit Benoît XVI à ce propos
[Les baptisés en générale et les hommes politiques en particulier] doivent prendre des décisions concernant les valeurs fondamentales, comme le respect et la défense de la vie humaine, de sa conception à sa fin naturelle, comme la famille fondée sur le mariage entre homme et femme, la liberté d'éducation des enfants et la promotion du bien commun sous toutes ses formes.
La promotion du bien commun sous toutes ses formes est le genre. Il est obligatoire en toutes matières.
Les trois points particuliers : vie, famille, liberté d'éducation sont les espèces spécialement non négociables.
C'est pourquoi ceux qui s'emparent du genre pour nier les espèces n'ont pas raison. Ils veulent en conclure que rien n'est négociable puisque "la promotion du bien commun sous toutes ses formes" est aussi un point non-négociable. Mais dans le genre figurent des catégories controversées : peine de mort, montant du smic, durée des congés, immigrations etc. Toutes les décisions prises doivent l'être en vue du bien commun. Bien sûr, la faiblesse de notre esprit nous empêche de voir certainement dans certaines matières, la bonne décision à prendre, il peut donc y avoir légitimes controverses entre personnes se réclamant toutes de la promotion du bien commun en toutes matières.
Mais les décisions concernant les trois points non négociables (liberté et obligation de vivre, famille, liberté d'éducation) sont certaines en raison de la matière. Elles sont obligatoire pour tout catholique et même tout homme de bonne volonté.
Ceux qui comme le quotidien "La Croix" ou monsieur Daoudal tentent de ridiculiser la prétention aux trois "points non-négociables" ne font donc pas une bonne action, car ces points non-négociables devraient fonder l'unité des catholiques en politique.
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