6.6.15

« Collet se sert de la justice, moi je sers la justice » (Vincent Reynouard)

Vidéo très intéressante de monsieur Reynouard:



Je suis tout à fait d'accord avec lui: inutile de se défendre devant les tribunaux. Si vous êtes sur la liste noire, vous n'avez aucune chance qu'on vous rende justice.

Les magistrats français m'ont spolié plusieurs fois. Par exemple, ils m'ont condamné à payer une amende de 800 € à l'occasion de la mort suspecte de ma fille. De gros délicats les magistrats français ! À cette occasion ils m'ont spolié des biens qu'elle m'avait laissés.

Ils ont condamné ma mère, dont je suis l'héritier, ma mère de 95 ans et qui allait mourir à payer 500 000 € de réparation sur un bien qu'elle "louait" 2 300 € par an, par an, par an.

Ne pas oublier non plus l'affaire Vincent Lambert où ils se sont rendus coupables de complicité d'assassinat par actes de torture et actes de barbarie.

En matière d'escroqueries, de vols, de torture et d'assassinats les magistrats français s'y connaissent.



J'ajoute que poursuivre monsieur Reynouard pour appel au public en vue de faire payer ses amendes découvre une nouvelle fois, s'il en était besoin, l'extrême mauvaise foi des magistrats français.

Si quelqu'un peut aider monsieur Reynouard à vivre, qu'il le fasse. Dans l'état de détresse où l'a mis la magistrature, l'aider n'est pas charité, c'est probablement justice (1). De plus son action en faveur de l'éducation et du bien commun mérite une aide, surtout lorsque cette action gratuite est contrée  dans des conditions de cruauté extrême par les autorités chargées de rendre la justice.


(1) Rerum novarum « Mais dès qu'on a accordé ce qu'il faut à la nécessité, à la bienséance, c'est un devoir de verser le superflu dans le sein des pauvres. "Ce qui reste, donnez-le en aumône" (18). C'est un devoir, non pas de stricte justice, sauf les cas d'extrême nécessité, mais de charité chrétienne, un devoir par conséquent dont on ne peut poursuivre l'accomplissement par l'action de la loi. »
Les mots soulignés l'ont été par moi.

L'original latin  porte: «  Non iustitiae excepto in rebus extremis » Donc, il y a plutôt écrit "dans les cas extrêmes" que "dans les cas d'extrême nécessité". Cas extrêmes, à mon sens, est plus large que "cas d'extrême nécessité".

Je laisse mes lecteurs décider en conscience si monsieur Reynouard est en un cas extrême. Je pense qu'il est possible de le croire.

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