3.5.13

Le concept d'"homophobie" contre plusieurs droits de l'homme

Les partisans du "genre" ont forgé le concept d'« homophobie » en vue de culpabiliser les défenseurs de l'humanité.

Mais ce concept est a-juridique. Il ne protège aucun  droit particulier, il n'oblige à rien. Seuls les droits universels de l'homme sont dignes de protection universelle.

Ce concept utilisant les violences dont peuvent être victimes les homosexuels en raison de leur homosexualité (lesquelles sont impossibles à établir certainement puisqu'elles seraient qualifiées par des mobiles psychologiques par nature inconnaissables) tentent de sacraliser l'homosexualité par rapport aux autres comportements aberrants qui peuvent se trouver dans l'humanité. C'est un peu comme si l'on forgeait l'idée d'un nouveau "délit" qui serait la phobie du pédophile. Cela n'aurait aucun sens.

Ce concept absurde est utilisée contre la liberté d'expression, il est utilisé contre le droit au mariage, il est utilisé contre la justice puisqu'il coûte et va coûter encore plus au Trésor public et aux organismes sociaux.

C'est d'ailleurs pourquoi le droit de lutter par tous les moyens contre cette destruction de la civilisation est imprescriptible et ne pourra jamais s'arrêter. C'est pourquoi il nous faut aussi lutter pour la radiation du concept d'"homophobie" de la "législation" positive. Dans le code pénal le terme d'homophobie n'est pas mentionné. N'est mentionnée que la notion de "orientation ou identité sexuelle"  dans la "loi" sur la presse de 1881. En sacralisant une catégorie de citoyens, le législateur viole les droits universels de l'homme tant dans l'égalité que dans la liberté d'expression. La discrimination n'est illicite que sur les droits fondamentaux (droit à la liberté religieuse, droit à la vie etc.), elle ne concerne nullement des droits contingents et encore moins des droits inexistants. Or l'homosexualité n'est pas un droit universel.

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