24.5.13

Un constat de crise, mais où sont les remèdes ?



(Via le Salon beige)

Cette analyse est intéressante car elle fait l'état alarmant de l'économie. L'orateur pense que la solution se trouve dans la réforme des institutions françaises... Je reste cependant sceptique.

Énonçons donc les vraies causes de la crise : La crise est due aux coûteuses charges exposées sans aucune contrepartie bénéfique.

Exemples :

Divorces et séparations (double logement, frais et complications diverses), procréations médicalement assistées, avortements qui plus est financés de force par le Trésor public,  et maintenant nouvelles charges fiscales et sociales sans contrepartie par le "mariage" homosexuel, sans oublier l'amoindrissement de la liberté et persécutions arbitraires des entrepreneurs (parité, diversité, "homophobie"...) par les institutions judiciaires.

Toutes ces anomalies ont un coût direct, mais, encore plus, un coût indirect. Un avortement coûte puisqu'il faut payer les "médecins" et les autres... Mais il coûte aussi par l'absence de l'enfant et le traumatisme infligé à tout le corps social, aux parents et à la mère en particulier... Un entrepreneur persécuté, ce sont des frais exposés perversement, mais c'est aussi un entrepreneur découragé...

L'économie est malade des coûts directs et indirects arbitraires engendrés par l'idéologie.

Je suis très fier d'être, pour l'instant, le seul à l'écrire.

On ne sortira de la crise que par, en premier lieu, le déremboursement de l'avortement, la lutte contre les divorces, la liberté rendue aux entrepreneurs, par la suppression du PACS etc.

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