5.4.13

Quand le service public audiovisuel discrimine selon la foi

Les "Femens", des femmes soi-disant féministes ont attaqué une manifestation de "Civitas", puis elles se sont introduites dans Notre-Dame de Paris, se sont dévêtues et ont frappé sur les cloches exposées et certaine a volé de l'or qui protégeait les cloches. Aucune réaction du "service public" qui a présenté cela comme une manifestation normale, alors qu'elle avait violé la liberté religieuse.

Certaines d'entre elles particulièrement courageuses sont allées brûler un drapeau sallafiste devant la mosquée de Paris. Selon le même "service public" (la station de radio "France Inter"), on doit se poser la question de savoir si elles sont allée "trop loin" ? Pourtant elles n'ont pas envahi la mosquée qui était fermée, elle n'ont rien volé, elles n'ont pas volé le drapeau...

La radio du régime ne s'est pas posé la question lorsque ces femens ont attaqué l'Église catholique, sans aucun risque pour elles.

J'ai déjà noté sur mon blog, à plusieurs reprises, que France 2, autre organe d'État, s'en était pris arbitrairement aux catholiques.

Le droit à la liberté religieuse est un droit fondamental de l'homme, c'est un droit pivot parce que la religion est le signe de la destinée transcendante de l'homme, fondement de sa dignité.

Dans un État de droit, la violation de la liberté religieuse devrait être réprimée et non devenir sujet de discrimination arbitraire. La faute contre les droits de l'homme est double.

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