6.4.13

L'imposition du genre à l'école est contraire aux droits de l'homme

L'article 30 de la Déclaration universelle des droits de l'homme précise qu'il n'y a pas de droits de l'homme contre les droits de l'homme.

Pourquoi ? Parce que les droits universels de l'homme sont fondés sur la vérité.

La théorie du genre est une théorie mensongère. Lorsque l'enfant paraît, on "voit" immédiatement et à l'évidence son sexe. Dès la naissance d'ailleurs le poids n'est pas le même, le périmètre crânien n'est pas le même (demandez aux mamans la différence entre garçon et fille lors de l'accouchement).

Que la culture vienne ensuite confirmer, voire accentuer ces différences, c'est un fait. Mais l'homme est un animal culturel. Il n'y a jamais chez lui de nature brute.

Naturellement, l'homme est plus fort physiquement. Culturellement, il peut donc manier le marteau, la pioche, il sera voué plus  facilement à des travaux demandant de la force. L'homme ne porte jamais d'enfant dans son ventre. Il n'est donc pas tenu aux précautions que prend la future maman. Il n'allaite pas. On n'en finirait pas d'énoncer les différences naturelle ayant des implications culturelles. Il est donc normal que la culture différencie les deux sexes et même accentue cette différence. La femme du fait de sa faiblesse a droit à une protection particulière que l'homme lui doit.

De point de vue des droits fondamentaux les deux sexes sont égaux, ce qui ne signifie nullement qu'ils peuvent être traités de façon indifférenciée du point de vue de leurs droits contingents.

Ce bref résumé anthropologique est nié par des idéologues démoniaques.

Monsieur Peillon veut imposer pourtant cette idéologie à l'école, en imposant, entre autres extravagances, l'interdiction des mots de "garçon" et de "fille", de "père" et de "mère" etc.

On peut lire sur zenit un article sur cette question où l'on constate que au nom des droits de l'homme, certains juristes des organisations internationales veulent nier les droits fondamentaux et universels de l'homme. Mais il n'y a pas de droit de l'homme contre la vérité. Il n'y a pas de droit de l'homme contre les droits de l'homme.


« Quand la vérité n'est pas libre, la liberté n'est pas vraie. » (Jacques Prévert)

Nous vivons donc dans la tyrannie, luttons pour notre libération.

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